Dans la brume électrique, Bertrand Tavernier plonge dans les bayous de la Louisiane. Du grand art.

Dans le Louisiane ravagée par Katrina, un policier enquête sur les meurtres de jeunes femmes. Plus qu'un simple thriller, Dans la brume électrique touche au fantastique

Bertrand Tavernier et le western, c'est presque un pléonasme. Rencontre érudite et passionnée avec le maître d'oeuvre de la série "L'Ouest, le vrai", la collection de romans western d'Actes Sud.

Enquête autour de la question de l'avenir du cinéma français reprenant les avis de trente personnalités sur la question.

Grand connaisseur de l'Amérique et de son cinéma, comme le rappelle encore son indispensable livre Amis américains qui ressort dans une version plus complète et illustrée, Bertrand Tavernier revient au sommet de son art grâce à Dans la brume électrique, son premier long métrage de fiction entièrement tourné aux Etats-Unis. Avec cette adaptation d'un roman noir de James Lee Burke, dont il apprécie l'oeuvre depuis des années, le réalisateur de Coup de torchon brosse un formidable portrait de la Louisiane, où les drames du passé se mêlent aux horreurs du présent.

Avec ″La Princesse de Montpensier″, Bertrand Tavernier traite, pour la première fois, de la passion amoureuse comme sujet principal d'un de ses films. En attendant la nouvelle laconique de Mme de La Fayette, une sorte de Princesse de Clèves miniature, que lui a proposée le producteur Eric Heumann, le cinéaste s'approprie le sujet avec fougue.

Dans "Laissez passer", Bertrand Tavernier raconte cette période trouble du cinéma français. Une histoire d'engagement, de résistance et d'aventure qu'il portait en lui depuis plus de vingt ans.

Avec "Laissez-passer", le réalisateur fait le portrait de ceux qui, sous l'Occupation, ont fait le cinéma français, et notamment ceux qui, tels Jean Aurenche et Jean Devaivre, ont résisté en signant des films frondeurs.

Bertrand Tavernier conteste l'adjectif "militant" que certains apposent parfois son cinéma.

Entretien avec le cinéaste, qui porte à l'écran un polar de James Lee Burke. Une plongée dans les marais obscurs de la Louisiane, avec Tommy Lee Jones

Qu'apporte l'Histoire au cinéma et le cinéma à l'Histoire ? Pour y répondre, Pascal Mérigeau a mis face à face Pierre Nora, le grand ordonnateur des ″Lieux de mémoire″, et Bertrand Tavernier, le réalisateur de ″la Princesse de Montpensier″.