Pourquoi, et surtout comment, redonner à l'arbre la place qu'il mérite dans les zones urbaines ? Tel a été le sujet de la soirée "Comme un arbre dans la ville", organisée par "le Nouvel Obs" en partenariat avec la ville de Nantes.

Les corridors de verdure aménagés depuis 2016 ont permis de rafraîchir les rues de la grande ville colombienne. Un exemple à suivre.

Avec le projet Neom, qui prévoit l'édification d'une ville linéaire de 170 kilomètres en plein désert, entre autres réalisations titanesques, l'Arabie Saoudite et son prince héritier veulent repousser toutes les limites de la cité du futur. Une entreprise folle à 500 milliards de dollars qui entend anticiper la fin de la rente pétrolière du pays et témoigne de sa nécessité vitale de reconversion. L'article se conclut par la présentation du projet américain à Neom, Telosa.

Au mitan des années 1980, la Planet Drum Foundation a posé les fondements de la méthode biorégionaliste aux États-Unis, pour ensuite infuser des associations, des municipalités, des services techniques et des départements de planification régionale. Un courant de pensée qui essaime désormais dans la société civile française.

En s'appuyant sur le corpus développé par le statisticien et essayiste Nassim Nicholas Taleb, qui a théorisé le concept d'antifragilité, villes et territoires pourraient développer des stratégies d'aménagement et d'urbanisme leur permettant d'anticiper les effets de nombreux facteurs de risque, prévisibles ou non. L'article se poursuit par l'interview d'Alexandre Monnin, qui déclare "Le renoncement, composante déterminante d'une politique territoriale antifragile" ainsi que le focus intitulé "L'aménageur, acteur clé de l'antifragilité territoriale".

Inverser les logiques de l'aménagement s'impose afin de garantir un développement durable des territoires. Mais avec quels outils ? Les réponses de Sébastien Maire, délégué général de l'association France Ville durable.

La rédaction d’"Urbanisme" et Julien Meyrignac font un aveu : ils ne s'attendaient pas, lorsqu'ils avaient inscrit le vivant à leur programmation éditoriale, à entrer dans des réflexions et échanges métaphysiques aussi profonds que fondamentaux. À questionner les frontières du vivant si elles existent, tant l’écosystème terrestre peut, dans sa globalité, être envisagé comme un organisme, et que le minéral, et même toute matière, peuvent, par certains aspects, être considérés comme vivants.