Après trois années sans ouverture en France, l'enseigne alimentaire belge Supermarché Match, a inauguré en mars 2021 son 115ème magasin dans le quartier de la Haute-Borne, à Villeneuve-d'Ascq (Nord). Celui-ci présente de nombreuses innovations valorisant le concept "Good food" de l'enseigne avec notamment une large espace dédié aux fruits et légumes et produits traiteurs cuisinés et préparés sur place. Détails. Pas de chiffres.

Puisant sa magie dans le dadaïsme et le cinéma de Méliès, William Kentridge évoque depuis trois décennies l'histoire tragique de son pays, l'Afrique du Sud, dans des créations mixant vidéo, dessin au fusain, danse et performance. Une fresque poétique et politique enfin honorée d'une rétrospective à sa démesure. A ne pas manquer.

Le chef de file des surréalistes a toujours nourri une fascination pour les artistes en marge. Théorisée notamment dans un ouvrage monumental, « l'art magique », auquel se consacre une exposition décalée du LAM.

En 2003, lors la vente de la collection d'André Breton, le LaM, déjà engagé dans une mise en valeur de l'art brut à la suite de la donation de l'Aracine, a acquis deux assemblages dits « objets d'aliénés » : un masque de coquillages de Pascal-Désir Maisonneuve et le « Tableau merveilleux no 11 » de Fleury-Joseph Crépin. Ces pièces se retrouvent au centre d'une constellation esthétique qui montre comment la démarche poétique de Breton peut s'associer avec des oeuvres plastiques de toutes origines et de toutes époques, qui dépassent la notion d'art « surréaliste » comme celle d'art « brut ».

Figure inclassable de l'art contemporain, exposée dans le monde entier, la célèbre plasticienne s'installe dans la banlieue lilloise pour une grande exposition, la première en France depuis quinze ans. Entretien sans langue de bois.

Il est des rencontres qui marquent une vie ... comme celle de Michel Nedjar avec l'art brut.

"Ascoltare lo spazio" (« écouter l'espace »), notait dans son journal intime cette figure féminine ô combien unique de l'arte pavera italien. Le LaM propose une première rétrospective depuis la mort de l'artiste en 2019. Une oeuvre complexe, car Marisa Merz n'a justement jamais cherché à faire oeuvre, mêlant intimement son art et sa vie.