Un essai de George Prochnik sur l'exil de Stefan Zweig paraît en même temps que le dernier tome de sa correspondance avec Romain Rolland.

Enfin une nouvelle traduction de l'un des livres-phares de ce siècle : "Le Monde d'hier", du grand écrivain autrichien. Du bonheur intense des années viennoises d'avant-guerre au cauchemar de 1914 et de Hitler, un continent a basculé dans l'horreur. Voici les "souvenirs" d'un témoin d'exception.

Laurent Bouhnik adapte "Vingt quatre heures de la vie d'une femme". Un changement radical pour le cinéaste de "Zonzon", qui dirige ici Agnès Jaoui, Michel Serrault et Bérénice Bejo.

Vienne, 1919. Un jeune auteur cherche à s'extirper du souvenir de son père, poète devenu icône nationale. Car il étouffe dans la maison familiale où tout est organisé par sa mère, femme autoritaire et intransigeante, autour du culte du grand homme. C'est alors que revient au sérail une femme dont le secret pourrait bien libérer le jeune homme de son carcan. Sommaire. La chute d'un mythe. Stefan Zweig, l'auteur. Christophe Lidon, le metteur en scène. Les comédiens. La Légende d'une vie. Le chaînon manquant. Toutes les nuances de Zweig. Le temps de la recherche. Une belle leçon de vie.

En avant-première, le prologue d'une nouvelle policière du maître viennois, jusqu'ici inconnue en France.

S'il existe un « témoin capital » de ce monde contemporain, suicidaire, c'est bien Stefan Zweig.

Dans sa nouvelle Le joueur d'échecs, Stefan Zweig met en scène un personnage qui, après avoir subi la torture psychologique par l'isolement, acquiert la capacité de dédoubler son esprit pour jouer aux échecs en imagination contre lui-même.

Stefan Zweig n'en finit pas de séduire. Le traducteur de son Voyage dans le passé a relu cet autre chef-d'oeuvre