Aller au contenu principal

«Et pourtant je vis» : Mandelstam

Numéros de page :
pp.104-109
Que nous puissions tenir en main l'ensemble de l'oeuvre poétique de Mandelstam, de "La pierre" (1913) jusqu'aux "Cahiers de Voronej" (1936) en passant par "Tristia" (publié à Berlin en 1922 pour cause de censure), et surtout l'énorme masse des "Poèmes non rassemblés en recueil ou non publiés", où gisent des trésors d'une splendeur inégalée, avec la prose du "Bruit du temps" (1925) jusqu'à "De la poésie" (1928), est une chance inouïe.