Lumière, en mai 2011, sur l'essor du marché du e-learning haut de gamme, d'abord aux Etats-Unis puis dans l'Union européenne. Un produit développé par les universités et business school américaines qui commercialisent des séminaires, cours de professeurs et interventions de top managers sous la forme de CD ou sur site web dans le monde entier. Un mouvement qui gagne également l'Europe. Alors que le e-learning présente des limites, certains tentent de pallier le manque de présentiel en favorisant l'interaction virtuelle. Autres pistes : le développement de serious game ou de simulateur ; le social learning (utilisation des réseaux sociaux développés par les entreprises à des fins de formation).