Le Covid-19 s’est en grande partie propagé depuis l’Iran, allié du régime syrien et des partis chiites au Liban et en Irak. Publier le bilan réel de l’épidémie pourrait enflammer la population contre Téhéran, affirme le "Guardian".

Après sa défaite, en 2017, le groupe djihadiste a laissé derrière lui un énorme magot, amassé au fil des ans et disséminé dans plusieurs localités du pays, suscitant la convoitise des divers groupes présents sur le terrain.

Le royaume wahhabite pousse ses alliés arabes à normaliser leurs relations avec l’Etat hébreu. Riyad franchira lui-même le pas après les élections américaines, explique "The Guardian".