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Nous avons trouvé 5 résultat(s) pour votre recherche "Aucun mot clef"

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L’examen de quelques ressources spirituelles du soin éclaire les capacités et les actes qui, par temps d’épreuve, permettent de prendre soin de soi, des autres et du monde : cultiver son intériorité, stimuler la quête de sens, hiérarchiser les valeurs, être attentif à la dignité de chacun jusque dans ses diminutions et par-delà son décès, s’entretenir mutuellement pour habiter le monde commun et y vivre bien.
Numéros de page :
pp.71-80

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A l’occasion du processus parlementaire de révision de la loi relative à la bioéthique de 2011, la plupart des rapports institutionnels et des courants d’opinion plaident désormais en faveur d’une levée de l’anonymat du don de gamètes. Comment un tel renversement d’un consensus éthique établi s’est-il imposé ? Quelles modalités sont-elles proposées et comment les évaluer ?
Numéros de page :
pp.53-64

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Date parution pério
2017-08-01
Le dogmatisme de certains prélats, en matière de morale sexuelle, vaut à l'Eglise bien des critiques et des incompréhensions. Y compris chez les catholiques philippins. Pourtant, le discours officiel est beaucoup moins caricatural qu'il n'y paraît. Sommaire. Philippines : des évêques sur la défensive. Un discours officiel qui évolue. Fait partie d'un dossier "Fécondité : un enjeu pour la planète ?".
Numéros de page :
pp.32-43

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Jusqu'où assister médicalement la procréation ? Deux avis du Comité consultatif national d'éthique (CCNE) ont cherché à répondre à cette question dans des contextes différents, en 2005 et en 2017. Ils sont en contradiction sur des points essentiels. De plus, le dernier avis présente bien des paradoxes et des tensions non résolues. Il importe donc de les mettre au jour, afin de poursuivre les débats.
Numéros de page :
pp.33-44

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Dans cet entretien, Didier Sicard, ancien président du Comité consultatif national d'éthique (CCNE) réfléchit sur la qualité des débats bio-éthiques en France. Le danger est d'agir au gré des ventes du moment et de privilégier l'émotion. On demande à la médecine d'éviter la souffrance au point de se rendre aliéné aux biotechnologies et au marché. Il est préférable de prendre du temps afin de se donner les moyens d'une réflexion commune. C'est là où les Eglises, qui privilégient le temps long et sont attentives aux plus vulnérables, peuvent avoir un apport pertinent.
Numéros de page :
pp.33-42