Ameur-Zaïmeche, Rabah (1966-....)
Article
Auteurs
Tessé, Jean-Philippe null
Bulletin : Cahiers du cinéma 760 - novembre 2019
Né en Algérie en 1966, Rabah Ameur-Zaïmeche a sans doute ruminé depuis longtemps un film sur la décennie noire de son pays natal, lorsqu'entre 1992 et 2002 s'affrontèrent les militaires et divers groupes islamistes suite à la victoire du Front islamique du salut aux législatives de décembre 1991, victoire confisquée le mois suivant par un coup d'Etat. A'époque de cet interminable bain de sang, où la population était prise en étau entre l'armée et les milices terroristes, un courant de pensée, actif surtout en France, avait fait sienne la formule « Qui tue qui ?
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Numéros de page :
pp.26-28, 30-32
Article
Auteurs
Bulletin : Jeune Afrique 3071
Avec "Terminal Sud" le réalisateur algérien Rabah Ameur-Zaïmeche décrit les dérives d'un système autoritaire et militarisé. dans un pays qui pourrait être l'Algérie.
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Numéros de page :
pp.96-97
Article
Auteurs
Lefebvre, Romain null
Bulletin : Cahiers du cinéma 802
Date parution pério
2023-10-01
Après un départ depuis les rives du contemporain, les années 2010 auront été pour Rabah Ameur-Zaïmeche celles d'un piratage temporel, prenant d'abordage le film d'époque pour se réapproprier avec "Les Chants de Mandrin" et "Histoire de Judas" des figures passées, avant d'offrir dans les échos de guerre civile algérienne de "Terminal Sud" la parabole d'un raidissement autoritaire. En réinvestissant une banlieue plus de vingt ans après "Wesh wesh, qu'est-ce qui se passe ?", "Le Gang des Bois du Temple" signe en surface un retour au présent et à un territoire d'origine. Sommaire.
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Numéros de page :
pp.20-24
Article
Auteurs
Bulletin : Politis, du 07 au 13 septembre 2023
Date parution pério
2023-09-07
Dans "Le Gang des Bois du temple", Rabah Ameur- Zaïmeche imagine que des gars d’une cité dévalisent un prince arabe. Rencontre avec le cinéaste qui nous parle de lutte des classes, d’espaces poétiques et du meurtre de Nahel.
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Numéros de page :
pp.26-28