Ajoutant le venin d'une écriture enragée à l'horreur du Goulag, Martin Amis s'attaque à nouveau à l'Union soviétique. Entre carricature et tragédie, un très bon cru.

A travers son portrait de Staline, Martin Amis règle ses comptes. La génération de son père, les intellectuels anglais qui crurent au communisme, et l'islamisme sont ses principales cibles

Avec ″La Veuve enceinte″, l'écrivain revient à ses fondamentaux : pattes d'eph', sexe et psychotropes.

Salves tirées avec allégresse contre le prêt-à-penser de tous bords, des textes écrits entre 2001 et 2007 par Martin Amis explosent la langue de bois. Réjouissant.

Dans un château italien en 1970, des jeunes se croisent et tentent de s'aimer à l'aune de leur nouvelle liberté. Récit d'un échec qui marquera leur vie entière dans le très attendu nouveau roman de Martin Amis. ″La Veuve enceinte″.

Violente, vulgaire et parcourue de pulsions venimeuses, l'Angleterre d'aujourd'hui inspire à Martin Amis sa charge satirique la plus punchy depuis ″Poupées crevées″.

En situant son nouveau roman à Auschwitz, en mêlant romance et horreur, ironie et empathie, le trublion des lettres britanniques joue sur la corde raide. Rencontre avec un équilibriste surdoué.

Fallait-il ou non publier le nouveau Martin Amis ? Véritable polémique depuis que Gallimard l'a refusé, le roman paraît en français. Passionnant.

Dernier roman de Martin Amis, ″La Veuve enceinte″ revient sur la libération sexuelle des seventies. Un texte cruel et virtuose qui interroge une société obsédée par le sexe.

Le nazisme et la littérature, une question ancienne aujourd'hui reposée par le roman de Martin Amis, "The Zone of Interest", et l'essai passionnant de Johann Chapoutot, "La Loi du sang". Deux livres qui traitent les nazis en hommes et non en monstres.

L'écrivain anglais sort son vingtième roman, "La Zone d'Intérêt", satire terrifiante ayant pour cadre Auschwitz. Le livre de la consécration outre-Manche, où la critique l'a pourtant souvent éreinté. Celui de la discorde en France et en Allemagne, où ses éditeurs habituels lui ont fermé la porte. Ce grand styliste fait mine de s'en amuser, en vieil habitué des polémiques.