La première vente importante de la rentrée, organisée par deux études parisiennes, Poulain-Le Fur et Ricqlès, a connu des résultats propres à rassurer ceux qui craignaient un effondrement du marché.

Dans un climat incertain, comment les acheteurs réagiront-ils à New York face aux abondants catalogues que proposent les grandes sociétés de vente ?

Avec ce lampadaire en forme d'épingle de nourrice pour symbole, la vente de design organisée par l'étude Cornette de Saint-Cyr, le 25 avril dernier, a su accrocher les amateurs.

Bonne surprise : face au ralentissement de l'économie mondiale, le marché de l'art impressionniste et moderne a bien résisté.

Le couturier qui a habillé le pape et a fait défiler Vanessa Paradis court vêtue d'un myriade de Snoopys met ses collections d'art aux enchères.

Rentrée sur les chapeaux de roue avec la dispersion de l'audacieuse collection de Mira Jacob, galeriste éclairée et amie des artistes.

L'espace de quelques heures, la vente du Baron de Redé chez Sotheby's fera revivre les fastes d'un Paris extravagant.

Dix-huit mois après la fermeture de leur galerie au public, Liliane et Michel Durand-Dessert mettent en vente chez Sotheby's une partie de leur collection.

Entre pépites archéologiques chinoises et objets exotiques abordables, la dispersion à Paris de la collection du célèbre couturier japonais, moins de six mois après celle, inaccessible, d'Yves Saint Laurent, offre maintes opportunités

L'année s'achève sous le signe du dollar. Elevé au rang d'icône par le pape du pop art, le billet vert a fait valser les enchères. Retour sur les récentes ventes new-yorkaises.

Elevée au rang d'oeuvre d'art, une Bugatti réduite à l'état d'épave après avoir séjourné pendant plus de soixante-dix ans au fond du lac Majeur a déchaîné les passions.

La collection de Robert Lebel, ami d'André Breton, promet monts et merveilles à Drouot.