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Bonnell, Jérôme (19..-....) -- Entretiens

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Auteurs
Nouchi, Franck Auteur du texte
Dans "A Trois on y va", Jérôme Bonnell met en scène deux personnes qui se trompent l'une l'autre... avec la même femme. Le cinéaste explore avec finesse l'émoi d'être en proie à la confusion des sentiments.
Numéros de page :
1 p. / p. 136

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Jérôme Bonnell a tourné son premier long métrage, « Le Chignon d'Olga », à l'âge de 23 ans. Une oeuvre confondante de maturité. Quinze ans et cinq films plus tard, dont « Le Temps de l'aventure »- qui nous séduisit beaucoup, il y a deux ans-, ce cinéaste discret confirme qu'il faut compter sur lui. En effet, « A trois on y va », son nouvel opus, donne à voir une comédie chatoyante sur le triangle amoureux, empruntant aussi bien à Lubitsch qu'à Marivaux. Un film gracieux, porté par l'interprétation de Félix Moati, Sophie Verbeeck et surtout d'Anaïs Demoustier.
Numéros de page :
7 p. / p. 14-20

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Si vous aimez Rohmer et les drames ouatés.
Numéros de page :
/ p. 44

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Auteurs
Alion, Yves Auteur du texte
Date parution pério
2013-04-01
Sans tambour ni trompette, Jérôme Bonnell est tout simplement en train de signer une oeuvre parmi les plus vibrantes de ces dernières années. Son allure juvénile ne doit tromper personne : le talent de notre homme s'inscrit dans la durée. Déjà cinq longs métrages au compteur, sans oublier plusieurs courts, que le cinéaste signe en parallèle, comme une gourmandise supplémentaire, signe de son insatiable appétit en matière de cinéma. « Le Temps de l'aventure » ne ressemble à ses films précédents que par la bande.
Numéros de page :
6 p. / p. 146-151

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Auteurs
Alion, Yves Auteur du texte
Date parution pério
2015-03-01
Il existait indéniablement des éléments comiques dans "J'attends quelqu'un" " et "Le Temps de l'aventure". Ils n'étaient pas là par hasard, tant Jérôme Bonnell se régale à glisser ici ou là des peaux de bananes sous les pas de ses personnages, ce qui ne limite en rien leur capacité à nous émouvoir. Au contraire. Avec "A trois on y va", il fait un pas supplémentaire en direction du burlesque et montre qu'il possède en la matière un savoir-faire rare, qui n'a pas pour autant vocation à transformer le film en un (brillant) exercice de style.
Numéros de page :
6 p. / p. 106-111