De plus en plus de cadres sous pression passent aux sports de combat. Radical pour décharger son agressivité, s'endurcir et parer les mauvais coups.

Délaissant leur tenue de manager pour la combinaison de pilotage, ces cadres se métamorphosent en as du volant le week-end. Pour le plaisir, et pour mieux gérer les montées d'adrénaline.

Malgré lourdeurs administratives et salaires décotés, la fonction publique attire des cadres du privé, déçus par le monde de l'entreprise.

Bien organisés, ces trentenaires parviennent à concilier leur passion des jeux vidéo avec le travail et la vie familiale.

Les entreprises doivent orchestrer une gestion dynamique des carrières pour recruter, puis conserver les meilleures graines de managers

Mal identifiée, l'ESEN, qui forme pourtant chaque année près de 2 000 principaux, proviseurs, inspecteurs, cadres, etc., cherche à diffuser un management public moderne. Objectif : apprendre à ces cadres intermédiaires à s'émanciper d'un mode de gestion fondé davantage sur l'obéissance que sur l'imagination.

Cadres sup, professions intellectuelles et libérales, ils sont habituellement le rempart le plus solide contre l'extrême droite. Mais des fissures apparaissent. C'est ce que révèle "2015, année terroriste", une étude que publie la Fondation Jean-Jaurès.

Beaucoup d'entreprises consacrent d'importants efforts pour détecter puis former et promouvoir ceux qui pourront être un jour leur PDG. Une tâche délicate où l'on cherche à valoriser les moutons à cinq pattes.

Les meilleures carrières se font en gravissant les échelons à l'intérieur de sa propre entreprise, révèle un chercheur qui va à l'encontre des clichés sur la mobilité.

Pas toujours simple de faire travailler ensemble des cadres d'origines et de cultures différentes.