Une nouvelle voie d'action des hydrocarbures sur le génome vient d'être découverte. Cela devrait améliorer l'évaluation des risques de cancer associés à ces agents.

Les mutations génétiques des tumeurs responsables des cancers du sein et du côlon varient fortement d'un individu à l'autre. Cette découverte, qui souligne la diversité génétique du cancer, montre toutefois que ces nombreuses mutations agissent sur un faible nombre de voies de signalisation.

On admet généralement que le cancer résulte d'une série d'altérations de gènes. Cette théorie ignore que l'expression des gènes est aléatoire et sous-estime le rôle de l'environnement des cellules. Peut-on rendre cohérentes ces informations ?