Dans "Carré 35", son deuxième film en tant que réalisateur, Éric Caravaca enquête sur sa famille et fait revivre sa soeur disparue.

Titres recensés : "Detroit"de Kathryn Bigelow ; "The Square"de Ruben Östlund ; "L’ Assemblée" de Mariana Otero ; "Ex Libris. The New York Public Library" de Frederick Wiseman ; "Carré 35" d’Eric Caravaca ; "Blade Runner 2049"de Denis Villeneuve ; "Le sens de la fête" d’Olivier Nakache et Eric Toledano ; "En attendant les hirondelles" de Karim Moussaoui ; "Prendre le large" de Gaël Morel,

Un secret de famille exploré sous la forme d'une poignante investigation documentaire.

"Carré 35", documentaire intime et atypique, enquête bouleversante sur un secret de famille, nous donne l'occasion d'une rencontre avec un comédien dont le parcours, en une trentaine d'années de carrière, a croisé les pas de cinéastes que nous avons aimés. Éric Caravaca évoque son travail avec François Dupeyron (quatre films ensemble, dont le poignant "La Chambre des officiers"), Patrice Chéreau ou, récemment, Philippe Garrel et sa carrière naissante de metteur en scène singulier. Sommaire. L'image manquante, critique de "Carré 35".

Bouleversant, de bout en bout. Il n'y a pas d'autre mot pour qualifier ce poème visuel, collage de photos, de morceaux de passeport, de bribes de souvenirs, pour faire surgir le fantôme d'une petite fille morte en 1963, à l'âge de 3 ans.