The Square
Article
Auteurs
Bulletin : Le Point
Palme et Grand Prix, c'est une certaine idée du cinéma européen qui a triomphé. "The Square" et "120 battements par minute", films en compétition au festival de Cannes 2017.
Article
Bulletin : Transfuge 112 - octobre 2017
Avec "The Square", Ruben Ostlund décroche une Palme d'or méritée pour un film aussi soigné que vénéneux. Critique du film puis entretien avec le réalisateur. Sommaire. Quelque chose arrive. "Ce qui m'intéresse dans l'art, c'est de créer des dilemmes".
Détails
Numéros de page :
pp.72-79
Article
Auteurs
Bulletin : Les Inrockuptibles 1142
La Palme d'or discutée du dernier Festival de Cannes exerce sa verve satirique sur des objets un peu convenus, mais avec un certain brio.
Article
Bulletin : Études 4243 - novembre 2017
Titres recensés : "Detroit"de Kathryn Bigelow ; "The Square"de Ruben Östlund ; "L’ Assemblée" de Mariana Otero ; "Ex Libris. The New York Public Library" de Frederick Wiseman ; "Carré 35" d’Eric Caravaca ; "Blade Runner 2049"de Denis Villeneuve ; "Le sens de la fête" d’Olivier Nakache et Eric Toledano ; "En attendant les hirondelles" de Karim Moussaoui ; "Prendre le large" de Gaël Morel,
Détails
Numéros de page :
pp.109-116
Article
Bulletin : Positif 680 - octobre 2017
Voilà un moment déjà que l'univers à la fois provoquant, drôle, bizarre et élégant de Ruben Ostlund nous intrigue. Voire nous ravit tout à fait. Depuis son deuxième long métrage, "Happy Sweden", en 2008, au bas mot. Un élan que ses films suivants - "Play", en 2011 puis "Snow Therapy", en 2014 - ont dûment conforté. Il était donc logique que "Positif" consacre un ensemble à ce talentueux cinéaste suédois de 43 ans. Surtout au vu de son actualité.
Détails
Numéros de page :
pp.6-8, 10-16
Article
Auteurs
Gairin, Victoria null
Bulletin : Le Point 2353
Palme d'or à Cannes, son jouissif "The Square" rudoie le bobo et son milieu naturel, l'art... Rencontre.
Article
Auteurs
Samson, Pierre null
Bulletin : Positif 718 - décembre 2020
Date parution pério
2020-12-01
Pourquoi "The Square" ? Que vient faire, en premier lieu, une telle géométrie au centre de la jungle de ce film, lui donnant même son titre ? L'œuvre, l'installation présentée au Musée d'art contemporain du palais royal de Stockholm, se veut une figure parfaite. Marquée au sol par une simple bordure de pierres blanches, de dimensions humaines, quatre mètres sur quatre, ce pré carré incarne l'ordre, la stabilité, la rigueur. Apparemment clos, il prétend toutefois s'ouvrir à l'humanité tout entière, qui trouvera là protection et justice.