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Detroit

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Bulletin : Première 479
Avant, elle était cette réalisatrice virile qui aimait les flingues, la vitesse et les surfeurs qui braquent des banques. Aujourd'hui, c'est une auteure oscarisée grattant les plaies vives de l'Amérique. Comment est-elle passée de l'un à l'autre ? Tout en décortiquant son nouveau film, "Detroit", Kathryn Bigelow fait le point sur une carrière faussement schizo.
Numéros de page :
pp.62-65

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Bulletin : Première 479
Kathryn Bigelow raconte la folie raciste des forces de l'ordre dans le Detroit de 1967. A La frontière du reportage de guerre et du film d'horreur, elle ressuscite une idée du cinéma américain qui avait cours à l'époque : politique, violent, et très, très en colère.
Numéros de page :
pp.100-101

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A Hollywood, elle est un cas à part : femme, cinéaste, oscarisée et auteure de films d'action. "Point Break", "Démineurs", "Zero Dark Thirty"... La réalisatrice américaine revendique ce cinéma sous testostérone, qui lui a valu plus d'un procès en légitimité. Comment une femme peut-elle filmer la violence ? Avec "Detroit", son dernier film, qui relate les émeutes raciales de 1967, c'est sa couleur de peau qui a été au Coeur du débat. Une Blanche peut-elle filmer le racisme ? Autant d'objections qu'elle balaye. La seule chose qui compte pour elle, c'est d'aller au bout de sa volonté.
Numéros de page :
pp.45-51

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La plus powerful et brillante réalisatrice américaine, Kathryn Bigelow, filme dans le controversé "Detroit", les violences policières dont furent victimes des citoyens noirs en 1967. Cinquante ans plus tard, la société US est toujours, selon la cinéaste, traversée par les mêmes tensions raciales.
Numéros de page :
pp.40-43

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Le film évoque les émeutes de juillet 1967 dans la ville du Michigan mais se focalise assez rapidement sur le fait divers sanglant de l'Algiers Motel.
Numéros de page :
pp.104-107

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Bulletin : L'Express 3458
Parce que Kathryn Bigelow est blanche, une partie de la presse américaine l'a vilipendée pour avoir réalisé "Detroit". Elle s'explique. Entretien.
Numéros de page :
p.105

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Titres recensés : "Detroit"de Kathryn Bigelow ; "The Square"de Ruben Östlund ; "L’ Assemblée" de Mariana Otero ; "Ex Libris. The New York Public Library" de Frederick Wiseman ; "Carré 35" d’Eric Caravaca ; "Blade Runner 2049"de Denis Villeneuve ; "Le sens de la fête" d’Olivier Nakache et Eric Toledano ; "En attendant les hirondelles" de Karim Moussaoui ; "Prendre le large" de Gaël Morel,
Numéros de page :
pp.109-116

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La réalisatrice américaine Kathryn Bigelow transpose avec brio ce qu'elle a appris dans le film d'action pour le mettre au service d'un discours social et politique. Elle réalise une plongée dans l'histoire difficile des Noirs Américains à travers les émeutes à Detroit en 1967. Un événement qui trouve encore de l'écho aujourd'hui car la population noire continue de clamer que "Black Lives Matter".
Numéros de page :
pp.36-37

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Bulletin : Le Point 2351
Kathryn Bigelow, la cinéaste multi-oscarisée de "Point Break" et "Démineurs", signe un film choc sur les émeutes raciales de 1967. Confrontée à de violentes polémiques, la dure à cuire s'explique au «Point».
Numéros de page :
pp.86-92

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Date parution pério
2017-10-12
Kathryn Bigelow avait 15 ans lorsque, à Detroit, en 1967, sur fond de tensions raciales, les émeutes furent réprimées dans le sang. Cinquante ans plus tard, elle les décrit dans un film choc. Rencontre.
Numéros de page :
pp.92-94