Plus de la moitié de la population mondiale vit désormais en milieu urbain. Mais Paris ou Londres ne sont pas Bombay ou Mexico.

En 2050, les deux tiers de la population mondiale vivront en zone urbaine. Une tendance qui ne sera pas sans conséquences sur l'environnement et la qualité de vie dans les cités du futur.

Evolution, en France, en 2013, des opérations de street marketing développées par les marques. Ayant encore de beaux jours devant elle, la méthode fait de plus en plus preuve de créativité et d'imaginaire, grâce à un mix avec l'événementiel. Les opérations sont également relayées sur le web désormais, où elles se doivent de créer le ″buzz″. L'objectif : toucher le consommateur directement et à moindre coût, tout en instaurant une relation à long terme avec lui. Le tout encouragé par les nouvelles technologies, qui ne cessent de renouveler le genre.

Depuis les années 1950, le pourcentage de population vivant dans les villes a augmenté de façon importante, et ce, à l'échelle planétaire. Au-delà de l'impact environnement et social, cette tendance peut également avoir des conséquences sur notre cerveau. En effet, selon une étude réalisée à l'aide d'un jeu vidéo, grandir en ville pourrait nous rendre moins conscient de notre environnement et limiter notre capacité à nous déplacer correctement. Il est peut-être temps de lever la tête et de regarder autour de soi.

Surpopulation, pollution, sécurité, énergie : dans tous les domaines, les villes battent des records. Pourtant, les mégapoles attirent toujours plus de monde. Nous serons 66% à vivre dans des villes en 2050 ! D'où le problème : comment gérer le développement des cités ? Jusqu'ici, les urbanistes étaient aux commandes... Or, aujourd'hui, les physiciens se mettent de la partie. Parce qu'ils ont des outils qui leur permettent de comprendre la dynamique des cités, jusqu'à établir des lois universelles ; mais aussi de simuler les solutions pour voir si elles fonctionnent sur le terrain.

La population planétaire vit aujourd'hui majoritairement dans les villes. Il est temps d'apprendre aux jeunes la nouvelle condition urbaine

Giuliana Prato aborde le thème de l'incommensurable et lui attribue un rôle essentiel dans la façon dont le débat sur l'anthropologie urbaine a évolué ; elle examine dans quelle mesure cette problématique s'étend au débat transdisciplinaire au sein des sciences humaines et sociales contemporaines et s'interroge sur l'intérêt que cette (nouvelle) compréhension de la ville revêt hors de la sphère universitaire.

Paola De Vivo réfléchit à l'approche pluridisciplinaire et met en valeur la complexité théorique que suscitent les enquêtes empiriques sur la gouvernance au niveau local ; son argument insiste sur l'intérêt de l'approche ethnographique pour mettre en oeuvre des politiques crédibles et efficaces.

En 2007, pour la première fois dans l'histoire, plus de la moitié de la population mondiale vivra en zone urbaine. Donc, pour l'essentiel, en banlieue. Des cités d'Ile-de-France aux yourtes-villes d'Oulan Bator, de la "suburb" style "Desperate Housewives", à l'éco-banlieue anglaise, panorama des grandes périphéries du monde.