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Dilili à Paris

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Auteurs
Nous avions quitté Michel Ocelot en 2016 avec "Ivan Tsarévitch et la princesse changeante", un recueil de contes en silhouettes animées, genre où il excelle et qu'il avait choisi à ses débuts, parce que c'était le moyen le plus économique de pratiquer l'animation. Il y a douze ans, pour son troisième long métrage, "Azur et Asmar", il découvrait les richesses de la 3D numérique, technique aux possibilités multiples qui s'est généralisée, mais qu'il a su plier à ses seuls désirs d'esthète.
Numéros de page :
pp.6-12

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"Dilili à Paris", film porteur d’un message politique humaniste frontal, qui résonne comme un plaidoyer général pour la civilisation des Lumières, l’égalité entre les femmes et les hommes et le socle commun du vivre-ensemble, devrait être réservé aux grands enfants et aux adultes.
Numéros de page :
pp.17-19