Vorace, original : à 21 ans, le Québécois Xavier Dolan enthousiasme avec Les amours imaginaires.

A 23 ans, le Québécois a déjà signé trois films, dont le formidable ″Laurence Anyways″. Histoire d'un prodige.

La relation amour-haine d'un fils et de sa mère. Un beau film autobiographique signé par un jeune homme de 20 ans

Le cinéma canadien a enfanté un petit prodige. A 21 ans, Xavier Dolan a imposé en deux films une fraîcheur de ton et une virtuosité d'écriture emballantes. Rencontre avec l'auteur de J'ai tué ma mère et Les Amours imaginaires.

Le jeune cinéaste Xavier Dolan réalise avec ″Les Amours imaginaires″ une ballade pop et un formidable portrait de génération. Un second film réjouissant.

Pour son quatrième film, "Tom à la ferme", Xavier Dolan brouille magistralement les repères.

23 ans et déjà trois films à Cannes : rien n'arrête Xavier Dolan.

L'oeuvre intégrale du cinéaste canadien Xavier Dolan a remis sur le devant de la scène ce parler si reconnaissable en provenance du Québec. Pour le réalisateur, c'est même un point d'honneur de mettre au centre de son travail l'oralité à travers la verve du français québécois. Cette caractéristique permet également de réinventer la tradition filmique du Québec, que Dolan incarne pleinement aujourd'hui. Sans toutefois faire oublier ses prédécesseurs.

Il est jeune, il est beau, il est doué, il est acteur-réalisateur, il est québécois et en seulement deux longs métrages, il a (presque) mis la Croisette à ses pieds. Après le choc ″J'ai tué ma mère″ en 2009, voici déjà l'heure de la confirmation avec ″Les Amours imaginaires″.

Après la fresque "Laurence Anyways", le jeune prodige québécois se convertit au thriller psychologique sous haute influence hitchcockienne dans un exercice de style virtuose et gonflé.