Les cinq candidates à l’investiture écologiste pour la présidentielle ont pu présenter leur projet devant les caméras, à trois reprises. Premier tour de scrutin du 16 au 19 septembre.

Depuis la création du parti vert en 1984, les écologistes sélectionnent leurs candidats à l’élection présidentielle au moyen d’une primaire. Convaincus par les plus récentes « vagues vertes » des élections européennes de 2019 et municipales de 2020 que l’heure de l’écologie présidentielle est enfin venue, ils cherchaient cette année celui ou celle qui leur permettrait de faire d’une pierre deux coups : prendre le leadership d’une gauche éparpillée et perturber le duel annoncé entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen.

Les organisateurs de cette initiative originale s’accrochent à l’idée d’un vote en ligne fin janvier. Mais sans l’engagement des candidats, servira-t-il vraiment la gauche et l’écologie ?

Le processus d’investiture pour la présidentielle remporté par Christiane Taubira est rejeté par les partis de gauche.

Parmi les sept candidats à la succession de Jacob Zuma à la tête de l'ANC, deux favoris : Nkosazana Dlamini-Zuma et Cyril Ramaphosa. La conférence du parti, qui se tiendra du 16 au 20 décembre 2017, sera le théâtre de leur règlements de comptes. Sommaire. Un fauteuil pour deux. Un double enjeu : la cohésion du parti et l'avenir du pays.

Encensé en 2012, ce processus de désignation des candidats est aujourd'hui accusé d'avoir coulé les grands partis en 2017. Une formule qui ne mérite peut-être pas un tel excès d'indignité.

A l’approche des caucus de l’Iowa qui donneront, le 3 février 2020, le coup d’envoi des primaires, de nombreux électeurs sont encore indécis. Comment choisir le candidat démocrate qui sera capable de battre Trump en novembre 2020?

Message "populiste", élites démocrates paralysées et médias tétanisés : pour l’édition américaine du magazine conservateur "The Spectator", le sénateur du Vermont a toutes les clés en main pour sortir vainqueur des primaires. Comme Donald Trump en 2016.

Jeune, dynamique et... flou : le benjamin de la course pour l’investiture démocrate s’appuie sur les mêmes ressorts, séduisants mais illusoires, qu’Emmanuel Macron en 2017, estime le "Washington Post".

Plutôt Bernie Sanders ou Joe Biden, Elizabeth Warren ou Pete Buttigieg ? Ce lundi 3 février 2020, les électeurs démocrates de l'Iowa seront les tout premiers à voter pour désigner le futur adversaire de Donald Trump à la présidentielle de novembre. Une tradition qui fait la fierté de ce petit état rural. Et qui provoque tous les quatre ans une démultiplication des réunions politiques. Car ces citoyens du Midwest qui ont jadis « lancé » Jimmy Carter ou Barack Obama prennent leur mission très au sérieux.

Divisée, sans favori évident, l'opposition peut -elle battre Donald Trump ? Les primaires, qui démarrent le 3 février 2020 dans l'Iowa et s'étaleront sur cinq mois, ébaucheront une réponse.

Sanders, le "Mélenchon américain", pourrait bien représenter les démocrates à l'élection présidentielle américaine et incarner le dégagisme "made in USA". Tout va dépendre des résultats du "Super Tuesday", le 3 mars 2020, au cours duquel les sympathisants se prononceront dans 14 Etats. En complément, l'article intitulé "Sanders, Warren, Biden... A qui vous font-ils penser ?" dresse un parallèle entre les principaux candidats américains à l'investiture et les principaux leaders de la gauche française.