Le but de la finance solidaire est de placer son épargne dans des produits financiers solidaires, qui serviront ensuite à développer des projets à forte utilité sociale et environnementale. Elle sert par exemple pour les associations ou les entreprises axées sur le social. Et sa valeur ne fait que grimper au fil des années en France : de 9,8 milliards d'euros en 2016, elle a dépassé les 11 milliards d'euros d'encours en 2017.

Cet article propose une exploration, basée sur l’analyse du discours et la sémiotique, du discours institutionnel de « présentation de soi » de deux banques « éthiques et alternatives », le Crédit Coopératif et la banque Triodos. Notre analyse vise à approfondir la compréhension des dispositifs discursifs de construction d’une identité « différente », où la dimension financière et la rentabilité sont présentées comme étant au service de l’éthique et de la durabilité.

En France, la finance solidaire, éthique et responsable a le vent en poupe. Les investissements responsables ont atteint un total de 746 milliards d'euros en 2015, contre 550 milliards en 2014, soit une progression annuelle de 29%. De plus en plus de Français sont désireux de donner un sens à leurs investissements, qu'ils soient teintés d'éthique, de morale, de religion, ou qu'ils défendent des causes ou des secteurs particuliers de l'économie.

9,67 milliards d'euros ont été déposés en 2016 par les Français sur des placements d'épargne solidaire, soit une hausse de +15,5%. Plus de 2 millions de produits ont été souscrits, principalement par des particuliers, pour soutenir des projets d'utilité sociale ou environnementale.

Optimiser ses revenus, alléger sa fiscalité, investir gagnant est l'objectif de ce dossier. Il aborde les étapes capitales que sont la retraite, les investissements, les contrats de mariage et l'immobilier. Sommaire. RETRAITE. A quoi faut-il s'attendre ? Continuer à travailler, mode d'emploi. Compléter ses pensions sans alourdir ses impôts. FISCALITE. Philippe Baillot : « Le consentement à l'impôt se délite ». ASSURANCE-VIE. Le grand écart. BOURSE. Benjamin Melman : « Les marchés peuvent encore rebondir ». Fonds indiciels ou gérants actifs : que faut-il choisir ? FINANCE PARTICIPATIVE.

Comment placer son argent dans une perspective sociale et solidaire ? Notre dossier pour faire les bons choix et éviter les pièges des labels trompeurs. Et nos conseils pour bien remplir sa déclaration d'impôts par temps de Covid. Sommaire. Votre épargne sauvera-t-elle la planète ? Bien choisir ses placements responsables. Déclaration de revenus : le diable est dans les détails.

Les Français sont rebutés par le risque, mais boudent les investissements sûrs, trop mal rémunérés. Et s'ils jouaient la carte de la nouveauté ? La gamme de produits alternatifs ne cesse de s'enrichir. Sommaire. La révolution des nouvelles banques. L'investissement immobilier. Des filons en or. Et si on se faisait plaisir ? De l'éthique dans l'épargne.

L’urgence climatique est l’une des principales préoccupations de la jeunesse, sensible aux promesses de la finance éthique. Ne voulant plus placer leur épargne dans des fonds qui financent les énergies fossiles, la déforestation ou l’extractivisme effréné, les moins de 35 ans cherchent à préparer leurs vieux jours tout en faisant un geste pour la planète. Pour les satisfaire, les intermédiaires financiers doivent étoffer leur offre ESG, se montrer pédagogiques et adapter leur discours. Quelques données chiffrées.

Mise en place par les acteurs de l’économie sociale et solidaire depuis quatre décennies pour des raisons plus politiques que financières, l’épargne solidaire se développe dans un monde en quête de sens. Les associations offrent aujourd’hui aux épargnants de nombreux produits répondant à ces préoccupations éthiques. Si l’économie bénéficie de cet apport d’argent, les structures qui en profitent doivent faire preuve de transparence et répondre aux critères exigeants des labels et de la réglementation européenne, afin de rassurer les épargnants. Détails. Pas de chiffres.