La femme la plus riche de France a-t-elle été abusée ? Entre 2001 et 2007, Liliane Bettencourt a donné près d'un milliard d'euros à son ami le photographe François-Marie Banier. L'enquête de la Brigade financière dévoile dans quelles étranges conditions. Révélations

La fille de Liliane Bettencourt poursuit pour abus de faiblesse François-Marie Banier, le favori de la milliardaire

La fraude sociale coûte 5 milliards d'euros par an. Tous les coups sont permis.

Laurence de Bourbon-Parme faisait confiance à son banquier...

Le scandale du siècle va rebondir. En France, notamment, où l'enquête devrait permettre de comprendre comment les victimes se sont fait arnaquer.

13 114 fraudes détectées en 2010 par 629 contrôleurs. Une journée avec un limier de la CAF.

″Tapiegate″. Au fil de l'enquête, l'étau se resserre sur la Sarkozie. La droite dénonce un acharnement.

Depuis un quart de siècle, Gérard Lhéritier proposait à des épargnants d'investir dans des manuscrits de Victor Hugo, Gauguin ou Saint-Exupéry. Il vient d'être mis en examen pour escroquerie. Et des milliers d'investisseurs se demandent s'ils reverront un jour leur argent. Révélations sur un étrange système.

La société Aristophil, qui commercialisait des textes écrits de la main de personnages historiques, s'est effondrée, laissant 18 000 épargnants floués. Des expertises récentes établissent qu'elle a outrageusement « gonflé » la valeur réelle de ces pièces et pointent d'étranges mouvements de fonds en faveur de Patrick Poivre d'Arvor. Révélations.

Gérard Lhéritier, le fondateur d'Aristophil, une société de placement financier qui commercialisait des parts de manuscrits en indivision, a été mis en examen le 5 mars 2015. Sa société avait été mise en redressement judiciaire quelques jours auparavant. Des centaines d'épargnants risquent de perdre leur investissement, alors que la possible dispersion aux enchères du stock considérable, 135 000 documents, affole le marché.

Au service de l'ancien ministre depuis dix-sept ans, Me Maurice Lantourne est aujourd'hui mis en cause dans l'arbitrage face au Crédit Lyonnais. Après une deuxième garde à vue, l'avocat dénonce l'acharnement ″politique″ dont serait victime son client. Devenu, au fil du temps, un ami.