Pourquoi la France procède-t-elle à ses essais nucléaires dans le Pacifique et pas en métropole ? Est-ce en raison des risques inhérents à ce type d'expérimentation ?...

Dans le Sahara, puis le Pacifique, la France a procédé à 210 essais atomiques. On découvre aujourd'hui certains effets... inattendus.

Le remplacement des essais nucléaires par des simulations numériques a de nombreux inconvénients.

Quarante-trois ans après le premier essai nucléaire, ils ont déposé plainte pour comprendre le taux exceptionnel de cancers dont ils sont victimes après avoir été exposés aux radiations.

L'explication technique qui a été donnée officiellement sur le besoin d'une nouvelle série d'essais nucléaires est très lacunaire, et souffre de l'absence de contre-expertise...

Après l'essai du 9 octobre 2006, le Conseil de sécurité de l'ONU est unanime : il faut sanctionner Pyongyang. Qui, de son côté, exige la levée des sanctions financières.

C'est une affaire tenue secrète durant des décennies. Et aujourd'hui encore, qui sait que les Américains et les Soviétiques ont fait exploser neuf bombes atomiques dans l'espace au début des années 1960 ?

Déclassifiés à la faveur d'une plainte, des documents de l'armée française révèlent une nouvelle "chronologie des retombées lointaines" de tout le désert algérien.

Le dogme serait-il devenu obsolète ? Depuis plus de cinquante ans, la dissuasion nucléaire française est le domaine réservé du pouvoir, coûteuse et couverte par l'opacité du secret-défense. Mais les changements des rapports de force internationaux ont créé une nouvelle donne géostratégique et, au sein même des armées, des voix s'élèvent pour contester le bien-fondé de la bombe atomique. Faut-il réduire le nombre d'ogives ? Faire disparaître la force aéronavale ? Ou encore diminuer les effectifs ?