Quatre ans après sa création, le réseau social le plus populaire sur Internet ne manque pas d'amis. Il doit juste apprendre à gagner de l'argent. Un défi de taille pour un site présenté un peu vite comme le nouveau Google

Les enchères montent autour des sites de réseaux sociaux comme Facebook, peu innovants, mais qui fascinent par leur force d'attraction de millions d'internautes. Une nouvelle bulle en perspective ?

Inquiétudes des actionnaires du réseau social américain Facebook vis-à-vis de la perte d'intérêt des jeunes pour ce média. Les moins de 25 ans, après avoir fait le succès planétaire de ce réseau, seraient en train de s'en détourner au profit d'outils plus modernes, plus anonymes où ils ne croiseront pas leurs parents. Mais Facebook minimise ces inquiétudes, assurant que d'après ses données, l'utilisateur moyen reste attaché.

Des citoyens se servent de Facebook pour pousser les entreprises à utiliser l'ukrainien quand elles opèrent dans le pays.

Jusqu'où ira Kevin Systrom, fondateur du site racheté à prix d'or par Facebook ?

Facebook veut faire plus que seulement diriger ses utilisateurs vers des articles publiés sur d'autres sites, il veut héberger les contenus.

Le plus grand réseau social du monde veut offrir un accès gratuit à Internet sur une partie du continent noir grâce au satellite Amos-6. Acte de charité ou calcul économique avisé ? Sans doute les deux...

Le PDG de Facebook a effectué sa première visite sur le continent, au Nigeria puis au Kenya. Son objectif : promouvoir Free Basics, un service d'accès à Internet gratuit... ou presque.

Depuis 2011 et la polémique née de la censure du tableau de Courbet, " L'Origine du monde ", le réseau social a précisé, dans le sens d'une plus grande tolérance, sa pratique relativement aux images de nudité.