Sous la plume de Max Gallo, un voltaire plus impressionnant et plus humain que jamais, plus prestigieux mais aussi plus contradictoire.

Max Gallo tempête contre la débâcle française, qui, aux yeux de l'historien Claude Quétel, trouve sa source en 1918.

Dans le premier tome de la biographie qu'il consacre à l'homme du 18 juin, Max Gallo nous trace le portrait d'un chef à la forte personnalité, sûr de ses choix...

A travers le récit de la conversion de Claire à un islam radical, l'écrivain français Max Gallo dénonce le fanatisme. Le tout sur fond de polar haletant.

Sa biographie de Victor Hugo est déjà un succès. Universitaire défroqué, romancier à succès, intellectuel de gauche, Max Gallo s'est engagé auprès de François Mitterrand, avant de suivre Jean-Pierre Chevènement.

Cet homme-là n'aime pas se raconter. L'idée de ce portrait lui plaît à condition de se référer à son autobiographie, "L'oubli est la ruse du diable".

Solitude du rebelle, de l'homme qui incarne la liberté et affronte les coalitions des médiocres : c'est autour de cette idée que Max Gallo construit le deuxième tome de sa biographie du Général.

Peut-on écrire, sans le recul de l'Histoire, la vie de l'Empereur au jour le jour ? Oui, répond Max : au galop, il s'est lancé dans une entreprise monumentale.

Romancier prolifique - et c'est un euphémisme -, Max Gallo enchaîne livre sur livre à un rythme d'enfer. "L'Ambitieuse" est son nouvel opus. Pourquoi écrit-il tant ?

Le titre confirme l'essentiel, Jeanne a bien été brûlée, et par des étrangers. Un prologue évoquant sa mort cruelle propose de faire renaître l'héroïne nationale dans les coeurs. Nationale ? Les ″johannistes″ sont nombreux outre-Atlantique où Jeanne occupe un vaste réseau de recherche et réédition. En Angleterre, le remords d'un procès pas très fair-play continue à troubler les dramaturges, de Bernard Shaw à Edward Bond dont le voeu le plus cher, a-t-il déclaré dans un entretien au ″Nouvel Observateur″, serait d'empêcher qu'on la brûle.