Une nouvelle technique de panneaux solaires ultrafins se développe en France. Flexibles, transparents, faciles à poser, ces nouveaux matériaux producteurs d'électricité, aux rendements moins élevés, répondent à d'innombrables besoins ponctuels.

Les évolutions réglementaires poussent les bâtiments à usage tertiaire à consommer moins, et les constructions neuves de plus de 1000 m2 à équiper au moins 30 % de leur toit de panneaux photovoltaïques ou de végétaux. Pour les grandes surfaces, opter pour le photovoltaïque permet de répondre à la première problématique, et à d'autres qui vont apparaître, comme la nécessité de proposer des bornes de recharge électrique sur les parkings.

Tout le monde veut agir pour le climat mais renâcle devant une toiture solaire ou une éolienne à sa fenêtre. Pour emporter l’adhésion, l’architecture écologique doit faire sa révolution, devenir belle et inspirante.

Quelque 150 000 ménages ont choisi de s'éclairer, de se chauffer ou d'alimenter leurs appareils électroménagers avec des panneaux solaires installés sur leur toit. Pour des raisons écologiques, mais aussi économiques.

Afin de devenir auto-suffisants en électricité, de plus en plus de grandes surfaces françaises s'intéressent à l'énergie photovoltaïque en 2019. Dernier exemple en date, le partenariat passé par Carrefour avec le spécialiste Urbasolar, pour l'installation de 36 centrales photovoltaïques servant à alimenter les magasins de l'enseigne. De telles opérations offrent aux distributeurs des gains énergétiques pouvant grimper jusqu'à 20 %, mais participent aussi à transmettre au public une image d'entreprise engagée dans les problématiques environnementales.

Face à la domination chinoise, les acteurs européens du photovoltaïque veulent produire moins cher et obtenir un rendement de près de 10 % supérieur. A l'origine de cette ambition, une rupture technologique : l'hétérojonction (HIT).

Produire son électricité grâce au soleil séduit de plus en plus de foyers. Mais quelle technologie se cache derrière cette énergie renouvelable ?

Grâce à des techniques d’imagerie dynamique, on comprend mieux le processus de cristallisation du silicium, ingrédient dominant des cellules photovoltaïques compétitives. L’objectif est de limiter les défauts les plus fréquents des cristaux pour, à terme, améliorer les procédés industriels.

La start-up française SolReed veut s'attaquer au problème de leur réparation, un impensé de cette filière en plein développement.