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Gray, James (1970-....) -- Entretiens

Article

Auteurs
Colombani, Florence Auteur du texte
Juré à Cannes en 2009, le brillant réalisateur de La nuit nous appartient, nous livre les clés de ses films.
Numéros de page :
/ p. 112-115

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Auteurs
Morain, Jean-Baptiste Auteur du texte
Comme d'habitude, James Gray est reparti bredouille de Cannes. Pourtant, « The Immigrant », son cinquième long métrage, dégraisse le film en costumes pour se concentrer sur l'essentiel : les rapports de domination entre les individus, l'une des obsessions du cinéaste.
Numéros de page :
4 p. / p. 64-67

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Quelques mois seulement après la sortie de La Nuit nous appartient, James Gray revient avec Two Lovers, une sombre histoire d'amour inspirée par les grands romans russes.
Numéros de page :
6 p. / p. 28-33

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Auteurs
Aubel, Damien Auteur du texte
James Gray revient aux sources de l'Amérique, là où elle se fait : le New York des émigrés, dans les années 1920. Rencontre avec un grand classique d'aujourd'hui.
Numéros de page :
5 p. / p. 38-42

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Pour son quatrième long métrage, James Gray délaisse le film noir à tendance shakespearienne au profit d'une histoire d'amour crépusculaire, bouleversante et cruelle dans laquelle Joaquin Phoenix, déchiré et déchirant, nage à vue entre passion (Gwyneth Paltrow) et raison (Vinessa Shaw). On espère une chose : que Two Lovers ne soit pas juste une parenthèse romantique dans la filmo du cinéaste
Numéros de page :
2 p. / p. 44-45

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Auteurs
Lamome, Stéphanie Auteur du texte
Ils sont fans l'un de l'autre. Ils ne s'étaient jamais vraiment parlé. Raison de plus, à l'occasion de ce numéro 400, pour réunir en exclusivité Claude Chabrol et James Gray. Rencontre cinéphile au sommet entre deux amoureux du film noir.
Numéros de page :
6 p. / p. 98-103

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Auteurs
Foubert, Frédéric Auteur du texte
Cannes, les critiques, ses fans français, les frères Weinstein... A l'occasion de la sortie de ″The Immigrant″, son film le plus ambitieux, James Gray fait le point sur sa situation au sein du cinéma US. Et en profite pour se projeter dans l'avenir : ″J'ai l'âge où les cinéastes réalisent leurs meilleurs films″.
Numéros de page :
4 p. / p. 68-71

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"The Immigrant" a la beauté éternelle des classiques. Si "Two Lovers", en peignant un couple dans la ville, évoquait "l'Aurore" de Murnau, le blanc visage de Marion Cotillard au coeur du clair-obscur urbain, la poésie des taudis de "The Immigrant" renouent avec le Griffith du "Lys brisé" et des "Deux orphelines".
Numéros de page :
7 p. / p. 24-30