Le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy est l'inspirateur de l'UMP. Il est également l'auteur des principaux discours du président, y compris les plus controversés.

A l'Elysée, le bureau d'Henri Guaino jouxte celui du président. La première chose qui frappe lorsqu'on y entre, ce sont les colonnes conquérantes de livres, souvent des essais historiques, qui envahissent la pièce. Contrairement à Nicolas Sarkozy, le conseiller spécial du président aime lire et, bien sûr, écrire.

La politique a-t-elle perdu la bataille face aux marchés financiers, à la mondialisation ? Henri Guaino et Arnaud Montebourg s'affrontent sur le sujet clef de l'élection présidentielle : au fond, cette dernière est-elle toujours un véritable enjeu ?

Henri Guaino était à Tripoli, à l'ambassade de France, ″quatre jours et quatre nuits autour du nouvel an″. Qu'y faisait le conseiller spécial du Président ? Nous lui avons posé la question.

Le hussard de la VIe face au grognard de Ve : Arnaud Montebourg, candidat à la primaire socialiste, et Henri Guaino, conseiller spécial et plume du président, confrontent leur idéal républicain.

Crise, Etat, pensée unique, Europe... une heure dans le cogito profond et nuancé de la plume de Nicolas Sarkozy

La "plume" de Nicolas Sarkozy dévoile lassise idéologique des grands discours présidentiels. Elle a pour soubassement la distinction entre démocratie et République. Cest le fil rouge qui permet de dire "non" au communautarisme, de dire "oui" à une Europe pilotée par le Conseil européen, ou encore de récuser les corps intermédiaires.

Ambition du conseiller spécial de Nicolas Sarkozy : repenser le rôle de l'Etat en trouvant le bon équilibre entre ultradirigisme et tout-marché.

Histoire, identité nationale, intégration... le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, rédacteur de ses principaux discours, croise le fer avec Jacques Julliard, du "Nouvel Observateur".

A la veille du G20, le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy estime qu'il est envisageable de limiter unilatéralement les rémunérateurs des traders des banques françaises.

Le conseiller spécial de Sarkozy dit être un républicain convaincu. Pourtant, il ne trouve presque rien à redire sur la ligne sécuritaire du gouvernement.