Réflexion, en novembre 2010, sur l'usage des drogues et d'alcool dans le milieu de travail en France, un sujet encore tabou pour les entreprises. Si la prise de conscience autour de la consommation de drogues illégales commence à se faire, elle masque la forte consommation d'alcool chez les travailleurs, qui concerne 10 à 15 % de la population active française. Le coût social de la consommation d'alcool représente pour les entreprises 1,5 % de leur masse salariale ; celles-ci restent cependant encore peu actives concernant la prévention de ces problèmes.

Le point, début 2012, sur la problématique de la protection des salariés français travaillant au contact de matières composées de nanoparticules (particules réduites au milliardième de mètre). Si toutes les nanoparticules ne sont pas dangereuses, les salariés demeurent toutefois insuffisamment protégés et informés en l'absence de réglementation spécifique à ce sujet.

Importance croissante de la qualité de l'air intérieur, notamment en entreprise, qui devient un véritable défi de santé publique en France. Alors qu'il est désormais prouvé que l'air respiré en intérieur est facteur d'allergies (30% de la population française concernée par des affections respiratoires), les entreprises peinent encore à s'emparer d'un sujet qui pourrait bien, pourtant, devenir l'enjeu marketing de demain, au même titre que l'a été la santé dans l'alimentation il y a une vingtaine d'années.

Alors qu'un salarié sur trois néglige son bien-être au travail, des études épinglent l'impact de nos mauvaises habitudes professionnelles sur notre santé. Travail sur écran, stress... voici des gestes simples pour que travail rime avec santé.

Aujourd'hui, 55% des salariés travaillent dans un open space. Et la tendance est loin de s'inverser. Quels sont ses effets sur la cognition et la santé ?

Analyse de l'impact de l'aménagement et de l'hygiène des espaces de travail en France au niveau économique et sur la satisfaction des salariés. Selon les résultats publiés en juin 2014 de différentes études, les salariés y apportent de plus en plus de considération comme vecteur de bien-être au travail. Sur un an, le manque d'hygiène coûterait 14,5 milliards d'euros, serait directement responsable d'un jour de congé maladie par salarié en moyenne et engendrerait une perte de productivité de 900 EUR par salariés.