Le très étonnant regard d'un investisseur-manager chinois qui veut faire réussir les entreprises françaises en Chine. Et les chinoises dans l'Hexagone.

Ces transactions posent de nouveau la question du contrôle du foncier agricole en France

Le symbole est fort : le 21 avril 2016, un train de marchandises a pour la première fois relié la ville de Wuhan, en Chine, à Lyon, en France. Cette "Nouvelle route de la soie", comme l'a baptisée la SNCF fait de la France une banlieue de la Chine. C'est que l'appétit de l'empire du Milieu pour l'Hexagone ne se dément pas, et va même en augmentant.

Formés au capitalisme à Hongkong ou oligarques new-look, ils investissent à tout va en Occident. Dernière acquisition : le parfumeur Marionnaud.

La télé et le numérique chinois veulent tisser leur toile à l'international. Sandrine Roustan, ex-dirigeante de France 4 basée à Shanghaï décrypte le phénomène.

De riches Chinois sont tombés amoureux du plus emblématique des produits nationals français : le vin. Mais les Français n'en sont pas tellement heureux. Explications.

Tourisme, industrie automobile, secteur du textile et même clubs de foot... Pékin multiplie les acquisitions en Europe, et particulièrement dans l'Hexagone. Amorcée depuis quelques années, cette tendance s'accentue depuis le début 2016.

Réalités de l'investissement chinois en France qui semble inquiété outre mesure. Si les investissements directs étrangers (IDE) chinois se sont considérablement développés à l'échelle planétaire, pour atteindre 128 milliards de dollars en 2015, ils ne représentent que 2% du total des IDE réalisé en France. Le premier investisseur dans l'Hexagone étant les Etats-Unis. Précisions sur les motivations de la Chine et les différents types d'IDE menés en France.

Décryptage, en avril 2012, de la vague de rachats de domaines viticoles par des investisseurs chinois qui touche l'ensemble de la filière du Bordelais. Alors qu'en 2010 seul un domaine viticole avait été acheté par un homme d'affaires chinois, pour deux en 2009 et un en 2008, le marché a pris un tournant en 2011 avec près d'une douzaine d'acquisitions. C'est notamment l'évolution de la fiscalité sur les plus-values qui a fait s'accélérer un certain nombre d'opérations. Sur 8000 domaines viticoles du Bordelais, les investisseurs chinois en possèdent 24.