Cet émirat qui regorge de gaz est un marché en or pour les industriels et l'armement français. Du Golfe à la Syrie, il est devenu un levier clef de la politique arabe de Nicolas Sarkozy

Le point, en décembre 2010, sur l'immobilier de prestige en France, qui continue d'attirer les investisseurs français ou étrangers malgré la crise économique. Malgré l'absence de prestations à l'américaine, la France conserve tous ses atouts pour attirer les investisseurs à Paris ou sur Côte d'Azur, grâce à la qualité de son immobilier, sa situation politique et économique stable et au prestige de certaines localisations. Les agences jouent également la carte des services pour attirer les investisseurs dans ces biens de prestige.

En 2014, le solde des transactions courantes est déficitaire de 19,7 milliards d'euros, soit - 0,9% du produit intérieur brut (PIB), après un déficit de - 0,8% en 2013. Grâce à la baisse du prix du pétrole, le déficit des biens a nettement diminué, mais la diminution des excédents des services et des revenus primaires, ainsi que l'augmentation du déficit des revenus secondaires ont contrecarré l'évolution enregistrée au niveau des biens. Dans le domaine de l'investissement, le solde des investissements directs est reparti à la hausse et s'établit à 21 milliards d'euros.

Réunis au sein des Etats de la France, les patrons de filiales de multinationales portent un regard peu amène sur la capacité du pays d'attirer des investisseurs. Résultats d'un sondage exclusif.

Regain de dynamisme pour l'année 2015 du marché français, essentiellement parisien, de l'immobilier de luxe. Après trois années difficiles, l'activité repart, reposant sur des facteurs conjoncturels (parité euro-dollar favorable, faiblesse des taux d'intérêt, baisse des prix) que les relations internationales peuvent vite assombrir. Le secteur bénéficie toujours de l'aura internationale de Paris aux yeux des riches étrangers. A noter que la province (arrière-pays, stations de sports d'hiver) arrive à rester également attractive. Explications.

Un symbole est tombé. Un des fleurons du capitalisme français a été avalé par le Canadien Alcan. Dix-huit mois plus tard, les milieux politiques et industriels s'alarment : la mondialisation menace aussi les champions nationaux.

L'Hexagone continue à attirer beaucoup d'investissements étrangers. Mais l'emploi en profite moins qu'on ne le croit et le flux pourrait se tarir tant l'image du pays se dégrade chez les décideurs.

Réalités de l'investissement chinois en France qui semble inquiété outre mesure. Si les investissements directs étrangers (IDE) chinois se sont considérablement développés à l'échelle planétaire, pour atteindre 128 milliards de dollars en 2015, ils ne représentent que 2% du total des IDE réalisé en France. Le premier investisseur dans l'Hexagone étant les Etats-Unis. Précisions sur les motivations de la Chine et les différents types d'IDE menés en France.

Sous Sarkozy comme sous Hollande, l'émir Al-Thani et son épouse placent des milliards d'euros dans les entreprises tricolores. D'où vient cette passion pour la France ? Et surtout que cache-t-elle ? Des luxueux hôtels parisiens où ils ont leurs habitudes aux palais de Doha, Sophie Des Déserts a tenté de comprendre ce que les Qataris ont dans la tête.

Enquête, en 2012, sur la stratégie d'investissement du Qatar en France. Des opérations très médiatisées et qui touchent de nombreux domaines : immobilier, sport, télévision, etc. Le Qatar, en quête de visibilité et de prestige, cible les actifs les plus hauts de gamme et s'appuie sur de nombreux relais dans les hautes sphères économiques et politiques. Le Qatar va jusqu'à jouer les business angels dans les banlieues françaises, s'attirant de nombreuses critiques pour un mécénat jugé communautariste.

Défense, énergie, santé, informatique, agroalimentaire... des secteurs clés dans lesquels l'autonomie de la France est battue en brèche. « L'Expansion » fait le bilan.