Tout se joue avant le 31 décembre 2008. Que ce soit pour l'impôt sur le revenu ou l'ISF. Nos pistes pour optimiser vos gains

Prix trop élevés, durcissement des conditions d'octroi de crédit, baisse des avantages fiscaux... Malgré leur appétit pour la pierre, de plus en plus de Français ont du mal à acquérir leur résidence principale. Personne (ou presque) n'est épargné.

Les Français sont inquiets. La preuve, ils jouent la pierre.

Se loger dans de bonnes conditions constitue aujourd'hui un vrai enjeu.

Des acheteurs frileux, des vendeurs qui ne veulent pas en rabattre... En ce début d'année, le marché reste désespérément plat. Si les transactions plongent, les prix résistent encore. Mais la crise a du bon : l'ajustement va se poursuivre. C'est peut-être l'occasion de saisir les opportunités.

Les programmes de logements pour étudiants et pour personnes âgées attirent les investisseurs à la recherche de défiscalisation et de diversification de leur patrimoine. Mais ces placements ne sont pas dénués de risques.

Le point, en décembre 2010, sur l'immobilier de prestige en France, qui continue d'attirer les investisseurs français ou étrangers malgré la crise économique. Malgré l'absence de prestations à l'américaine, la France conserve tous ses atouts pour attirer les investisseurs à Paris ou sur Côte d'Azur, grâce à la qualité de son immobilier, sa situation politique et économique stable et au prestige de certaines localisations. Les agences jouent également la carte des services pour attirer les investisseurs dans ces biens de prestige.

Le point, en janvier 2011, sur les dispositifs fiscaux relatifs à l'immobilier résidentiels qui pourraient subir un coup de rabot, en France, en 2011 et 2012, dans le contexte de la politique de rigueur budgétaire et conseils aux investisseurs qui plus que jamais doivent s'intéresser à la valeur du bien lui-même autant qu'aux avantages fiscaux. Points abordés : les dispositifs Scellier, Malraux et LMNP Bouvard ou Girardin social ; éviter la surcote et la vacance ; limiter le risque à la revente ; taxe sur les plus-values, vers une réforme plus vaste ?

François Scellier est député depuis 2002 de la 6e circonscription du Val-d'Oise. Membre du Parti radical, il fait partie du groupe UMP.

Lumière, en juillet 2011, sur la location meublée non professionnelle (LMNP) en France, qui présente de nombreux avantages : rentabilité locative autour de 4 %, dégagement de recettes défiscalisées, possibilité de troquer le bail d'habitation par un bail commercial, autorisation de la sous-location. Le LMNP représente une alternative idéale pour les investisseurs à la recherche de compléments de revenus.

Analyse, en octobre 2011, de l'engouement des acquéreurs fortunés français pour les biens immobiliers. Leurs objectifs : réaliser une passion, un rêve. De plus en plus de propriétaires font d'une pierre deux coups en achetant, un domaine viticole, agricole ou de chasse... Si le projet soulève l'enthousiasme, débusquer le bien idéal, presque unique, a de quoi refroidir les ardeurs des acheteurs les plus courageux. Quant à le revendre, il faudra s'armer de patience, même si cela peut rapporter gros. Des détails au travers de retours d'expériences.

Le point, en octobre 2011, sur le succès rencontré en France par les SCPI (Société civile de placement immobilier) et les OPCI (Organismes de placement collectif immobilier). Des structures qui permettent de mutualiser les moyens d'un grand nombre d'épargnants pour investir dans l'immobilier de manière diversifiée. Si leurs atouts sont nombreux, elles doivent néanmoins être gérées avec précaution. Malgré la dématérialisation de l'investissement, les risques demeurent bien réels.