Le Parfum vert
Article
Auteurs
Bruyn, Olivier de null
Bulletin : Marianne du 15 au 21 décembre 2022
Date parution pério
2022-12-15
Les deux comédiens interprètent un duo d'apprentis espions dans "Le Parfum vert" de Nicolas Pariser, un film délirant qui rappelle à la fois l'univers de Tintin et celui de Hitchcock. Nous avons convoqué Sandrine Kiberlain et Vincent Lacoste pour un interrogatoire tout en douceur.
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Numéros de page :
pp.72-73
Article
Auteurs
Masson, Alain null
Bulletin : Positif janvier 2023
Date parution pério
2023-01-01
Nos deux héros, qui d'emblée se reconnaissent l'un l'autre Juifs ashkénazes, partagent une dangereuse aventure, Martin malgré lui, Claire avec entrain. Que Martin soit plus jeune que Claire n'entrave pas leurs relations sentimentales. Il est abasourdi, elle est vive. Sandrine Kiberlain et Vincent Lacoste expriment avec vigueur ce contraste entre l'ardeur et l'apathie.
Article
Auteurs
Alion, Yves null
Bulletin : L'Avant-scène 698- 699
Date parution pério
2022-12-01
"Le Parfum vert" est un pur enchantement, qui nous permet de retrouver notre âme d'enfant en nous entraînant dans une aventure échevelée comme on en faisait encore dans les années 1960, du temps où De Broca faisait faire des cascades à Belmondo. Mais de par sa dynamique feuilletonesque, ses retournements improbables, la multiplication de chausse-trapes et de complots en tous genres, le film nous emporte plus loin encore dans le temps, à l'époque ou Hergé et Hitchcock (que Nicolas Pariser chérit l'un et l'autre) faisaient rouler de gros yeux à leurs personnages pour mieux nous faire sursauter.
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Numéros de page :
pp.146-153
Article
Auteurs
Ganzo, Fernando null
Bulletin : Cahiers du cinéma 793
Date parution pério
2022-12-01
Beauté de la langue française, pour parler des nuances d'un parfum on emploie souvent le mot « soupçon ». Comme dans tant de thrillers et films d'espionnage, le soupçon est le moteur du "Parfum vert" de Nicolas Pariser. Mais il ne vient jamais seul, ayant souvent comme moteur la paranoïa, qui fait entrer dans ces récits des forces contraires, d'où souvent l'apparence de films faits de collisions permanentes. Sommaire. Espions sur le Danube, la critique du film. L'humour aux trousses, entretien avec Nicolas Pariser.
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Numéros de page :
pp.46-49