Pariser, Nicolas (1974-....)
Article
Auteurs
Lepastier, Joachim null
Bulletin : Cahiers du cinéma 759 - octobre 2019
Joachim Lepastier intitule sa critique "Modeste et mordant" pour qualifier l'immersion dans le milieu de la politique locale abordée par le dernier film de Nicolas Pariser,"Alice et le maire". Le réalisateur détaille son travail dans l'interview menée par Nicolas Azalbert et Stéphane Delorme. Sommaire. Modeste et mordant. Une radicalité douce et inhabituelle.
Détails
Numéros de page :
pp.48-53
Article
Bulletin : Positif 704 - octobre 2019
Révélé par "Le Grand Jeu", thriller politique paranoïaque, insolite et énigmatique, Nicolas Pariser change de registre, tout en conservant le milieu politique et la composante ludique. "Alice et le maire" est une brillante comédie sur la vanité du pouvoir et les incertitudes de la vocation, qui remet à l'heure quelques pendules éthiques et idéologiques. La mise en scène fluide, presque chorégraphique, a gagné en assurance, et le film se déploie avec un rythme virevoltant. « Depuis que le cinéma s'est mis à parler, il se doit de dire des choses intelligentes. », disait Joseph L. Mankiewicz.
Détails
Numéros de page :
pp.18-25
Article
Auteurs
Kaganski, Serge null
Bulletin : Transfuge 132 - octobre 2019
Ni film à thèse ni satire ricanante, Alice et le maire regarde la politique sérieusement, à égale distance du désenchantement, de l'espérance et de la comédie. Rencontre avec Nicolas Pariser et une partie de son équipe.
Détails
Numéros de page :
pp.62-65
Article
Auteurs
Bruyn, Olivier de null
Bulletin : Marianne du 15 au 21 décembre 2022
Date parution pério
2022-12-15
Les deux comédiens interprètent un duo d'apprentis espions dans "Le Parfum vert" de Nicolas Pariser, un film délirant qui rappelle à la fois l'univers de Tintin et celui de Hitchcock. Nous avons convoqué Sandrine Kiberlain et Vincent Lacoste pour un interrogatoire tout en douceur.
Détails
Numéros de page :
pp.72-73
Article
Auteurs
Masson, Alain null
Bulletin : Positif janvier 2023
Date parution pério
2023-01-01
Nos deux héros, qui d'emblée se reconnaissent l'un l'autre Juifs ashkénazes, partagent une dangereuse aventure, Martin malgré lui, Claire avec entrain. Que Martin soit plus jeune que Claire n'entrave pas leurs relations sentimentales. Il est abasourdi, elle est vive. Sandrine Kiberlain et Vincent Lacoste expriment avec vigueur ce contraste entre l'ardeur et l'apathie.
Article
Auteurs
Alion, Yves null
Bulletin : L'Avant-scène 698- 699
Date parution pério
2022-12-01
"Le Parfum vert" est un pur enchantement, qui nous permet de retrouver notre âme d'enfant en nous entraînant dans une aventure échevelée comme on en faisait encore dans les années 1960, du temps où De Broca faisait faire des cascades à Belmondo. Mais de par sa dynamique feuilletonesque, ses retournements improbables, la multiplication de chausse-trapes et de complots en tous genres, le film nous emporte plus loin encore dans le temps, à l'époque ou Hergé et Hitchcock (que Nicolas Pariser chérit l'un et l'autre) faisaient rouler de gros yeux à leurs personnages pour mieux nous faire sursauter.
Détails
Numéros de page :
pp.146-153
Article
Auteurs
Ganzo, Fernando null
Bulletin : Cahiers du cinéma 793
Date parution pério
2022-12-01
Beauté de la langue française, pour parler des nuances d'un parfum on emploie souvent le mot « soupçon ». Comme dans tant de thrillers et films d'espionnage, le soupçon est le moteur du "Parfum vert" de Nicolas Pariser. Mais il ne vient jamais seul, ayant souvent comme moteur la paranoïa, qui fait entrer dans ces récits des forces contraires, d'où souvent l'apparence de films faits de collisions permanentes. Sommaire. Espions sur le Danube, la critique du film. L'humour aux trousses, entretien avec Nicolas Pariser.
Détails
Numéros de page :
pp.46-49
Article
Auteurs
Date parution pério
2019-11-04
Les élus locaux au cinéma ? Une vieille histoire, pas toujours à l'avantage des édiles. Est-ce pour prendre le contre-pied de cette tradition nationale, dont il estime qu'"elle dénonce magouilles et médiocrité du personnel politique, dans une veine polémique, en escamotant l'héritage pourtant présents des droits de l'homme", que Nicolas Pariser bâtit depuis dix ans une filmographie scrutant l'action publique de façon clinique ? Il est l'un des rares cinéastes français contemporains à évoquer l'action de nos édiles sans cynisme ni angélisme. Avec honnêteté.
Détails
Numéros de page :
pp.18-19