Le protectionnisme fait son retour sur la scène internationale, concrétisé dans les urnes lors du vote en faveur du Brexit, puis aux Etats-Unis avec l'élection de Donald Trump. Les effets de la mondialisation ne sont pas univoques : elle profite à certains secteurs, mais elle est vécue plus difficilement par d'autres. Les prises de position du nouveau président des Etats-Unis en faveur d'une remise en cause des principes de libre-échange et de multilatéralisme pourraient modifier la donne.

Alors que les négociations entre Washington et Pékin semblent sur le point d’aboutir, des études montrent que la stratégie de Donald Trump a pénalisé son pays.

Les guerres commerciales déclenchées tous azimuts par Donald Trump accélèrent les grandes crises de l’économie mondiale, selon l’économiste Robert Guttmann.

Pour le président américain, l'arme économique est devenue un outil au service de l'"America first" : droits de douane, sanctions financières, quotas d'importations... pas de diplomatie qui tienne, personne n'est à l'abri. Sommaire. Les guerres de Trump. Trump, le dynamiteur. Europe-Etats-Unis : les négociations au point mort. Hold-up à l'américaine. "Trump est réticent à pousser la confrontation plus loin".

Les Chinois veulent eux-mêmes remettre en service ces voies ancestrales du commerce mondial, mais cette fois pour y gagner en influence. Capitaux, énergie, et même le numérique les emprunteraient.

L’embargo décrété en 2014 par Moscou sur les produits alimentaires occidentaux a entraîné d’énormes privations. Mais il a aussi poussé l’État à encourager la production nationale.

Le Kazakhstan affiche un rythme de croissance élevé, puisque son PIB a augmenté annuellement d'environ 5 % ces dernières années. Bénéficiant d'un fort potentiel lié aux hydrocarbures, il souhaite en 2019 diversifier et moderniser son économie, en attirant notamment des investisseurs étrangers dans de multiples secteurs : énergies renouvelables, tourisme, industrie, etc. Positionné entre l'Asie et l'Europe, il compte profiter de sa position pour établir des partenariats avec divers pays venant de tous les horizons, dont la France. Sommaire.

Lors du sommet du 20 janvier 2021, organisé en visioconférence, le Premier ministre britannique, Boris Johnson, a rassuré ses partenaires africains : la Grande-Bretagne post-Brexit garde toutes ses ambitions pour le continent. Mais sans rien proposer de vraiment nouveau. Sommaire. Afrique - Royaume Uni, business as usual. Emma Wade-Smith, Commissaire britannique pour le commerce avec l'Afrique : « Nous souhaitons multiplier les accords avec les pays africains ». Cap sur la COP26.

Le ralentissement économique mondial conjugué à la résurgence de tensions politiques, monétaires et commerciales menace la croissance de la zone euro.

La Chine veut remettre en cause la suprématie des Etats-Unis dans les technologies de pointe, mais l'environnement économique est moins favorable que par le passé à sa montée en puissance