Un magazine hongkongais estime désormais possible que la Chine fasse usage des armes pour s’emparer de l’île nationaliste. Washington ne bougerait pas, et Xi Jinping en sortirait encore grandi, parie le journal proche de Pékin.

Sur fond de tensions militaires croissantes dans le détroit, Pékin poursuit son travail de sape de la démocratie taïwanaise, à l'approche des élections locales de novembre 2018 et en amont de la présidentielle de 2020. L'objectif ancien de la Chine, à savoir récupérer l'île, par la force si nécessaire, n'est plus tabou. Reste que, sur le terrain diplomatique, Pékin devrait y réfléchir à deux fois avant de priver Taipei de toute relation extérieure, car cela risque de faire basculer l'île vers l'indépendance, assure le webzine "Duanchuanmei".

A un an de la présidentielle à Taipei, Pékin exerce une forte pression pour récupérer Taïwan. Les indépendantistes taïwanais jugent leur présidente, Tsai Ing-wen trop faible et le disent haut et fort.

La récente démonstration de force de la Chine semble indiquer une attaque militaire imminente. Mais ces mouvements sont autant d’aveux d’échecs de la part du gouvernement chinois, estime ce spécialiste de la région.

Les Taïwanais s'apprêtent à élire leur président. Une victoire du camp démocrate serait un scénario catastrophe pour la Chine.

Des référendums en ligne, une ministre transgenre et hackeuse... pour assurer sa survie face à Pékin, Taïwan se rêve en laboratoire de la démocratie.

Avant la présidentielle, les critiques envers le gouvernement et la désinformation se multiplient sur les réseaux sociaux, dont TikTok.

L'élection de Lai Ching-te est un camouflet pour le régime communiste. Opposé à toute unification avec la Chine, ce fils de mineur devra toutefois apprendre à contrôler sa communication.

William Lai doit faire face aux intimidations militaires chinoises et aux tentatives de l'opposition pour entraver son action.

Le 13 janvier 2024, les Taïwanais élisent leur président et leurs députés pour quatre ans. Au coeur du scrutin : l'identité taïwanaise. Une élection majeure pour la jeune démocratie et pour toute la région, et dont le résultat sera observé dans le monde entier alors que Pékin maintient la pression sur l'île. Analyses et décryptages de la presse étrangère. Sommaire. Kinmen, à front renversé. L'odentité, au coeur de la présidentielle. Statu quo : chacun cherche sa Chine. Non, Xi Jinping ne va pas attaquer Taïwan. Cinquante nuances de propagande. Les pressions économiques, une arme politique.

Cap sur Dajia ! Mazu, déesse taoïste de la mer, est vénérée aussi bien dans l'est de la Chine que dans cette bourgade taïwanaise que nous vous emmenons explorer. Sur les plans gastronomique et culturel, l'île veille cependant à marquer sa différence avec sa puissante voisine. Même si l'ombre de Tchang Kaï-chek, président de 1950 à 1975, vient souligner la fragilité de cette identité encore en devenir. Sommaire. Rivages intimes. Dajia, la petite ville "qui dompte les vagues". La noblesse retrouvée des saveurs autochtones. L'étoile ternie de Tchang Kai-chek.

Après l'élection de Lai Ching-te, la Chine a-t-elle intérêt à redoubler d'agressivité envers Taïwan ? Non, répond ce chroniqueur hongkongais proche des positions chinoises. L'article du "South China Morning Post" (Hong Kong) est complété par une revue de presse intitulée "Le plus dur est à venir".