Les microlanceurs se multiplient en Europe. Une bonne chose pour l'innovation, mais qui menace la cohésion de la politique spatiale du continent.

Il y a cinquante ans, les astronautes américains de la mission 'Apollo 17' arrivaient sur la Lune après quatre jours de voyage spatial.

Les programmes spatiaux chinois, qu'ils soient habités ou automatiques, ne se limitent pas à une démonstration de force technologique. La science y occupe une place importante, ainsi que l'affirme Wu Ji, directeur des programmes spatiaux en Chine.

En imaginant une petite station spatiale en orbite autour de la Lune, la Nasa défend un projet réaliste, susceptible d'attirer des financements et de stimuler l'industrie nationale. Plus réaliste que l'exploration humaine de Mars, en tout cas.

La Chine a mis en service, en 2017, le plus grand radiotéléscope du monde. Elle marque ainsi, de façon spectaculaire, la volonté de ses dirigeants de reprendre une place abandonnée depuis des siècles sur le devant de la scène astronomique. Et pour le pays qui a inventé la poudre, de décrocher la Lune comme un symbole de puissance retrouvée. Reportage dans les hauts lieux célestes de l'Empire du Milieu. Sommaire. La révolution touche au ciel. Le rêve de Nan Rendong. L'astronomie chinois en quinze dates. L'harmonie du ciel et de la terre. L'Empire très céleste. Feuille de route.

Après plusieurs décennies de politique insulaire, l'agence spatiale japonaise prend un tournant vers plus d'ouverture dans les années 2010. Les raisons de ce changement prennent leurs sources dans de multiples facettes de l'archipel nippon.

C'est sous les tsars qu'est né l'engouement russe pour le cosmos. Bien avant les fusées Soyouz ou le vol de Gagarine, philosophes, artistes et même anarchistes réunis sous la bannière du "cosmisme" ont tous contribué à forger le "destin cosmique de l'âme slave".

Avec le programme Artemis, la Nasa ambitionne de renvoyer des hommes sur la Lune pour la première fois depuis plus d'un demi-siècle.

Ils sont cinq, sélectionnés selon des critères très stricts. Depuis le 3 avril 2023, une nouvelle promotion d'astronautes européens a commencé la formation qui la conduira, peut-être, jusqu'à la Lune. Voici ce qui l'attend au Centre européen des astronautes, à Cologne.

Le programme spatial indien vient de réussir l’alunissage “historique” d’un module sur le sol lunaire. Un événement scientifique et technique majeur, doublé d’une nouvelle affirmation de la puissance de l’Inde.

Il faut maintenant attendre la mission européenne Hera pour tirer toutes les conclusions de la collision. Lancement prévu en 2024.

À l'heure où la Nasa compte enfin lancer sa mission lunaire Artemis 1, sans équipage, les nombreux reports de lancement interrogent. Récupérer la technologie mise au point pour la navette spatiale était-il une si bonne idée ? D'autant que le Starship de Space X pourrait revêtir les traits d'un remplaçant plus performant...