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Pression artérielle

Article

Date parution pério
2023-06-01
La sensibilité gustative est variable selon les individus. Les différences interindividuelles dans la perception des aliments peuvent contrôler la qualité nutritionnelle des aliments consommés. Une faible sensibilité gustative au goût salé peut orienter la consommation vers un apport excessif en sodium qui entraîne ensuite une hypertension artérielle. Cet article vise à déterminer s’il existe une relation entre les seuils de sensibilité au goût salé et les niveaux de pression artérielle.
Numéros de page :
9 p. / p. 211-219

Article

Date parution pério
2023-05-01
La découverte d’une hypotension artérielle (pression artérielle 110/60 mmHg chez l’homme et 100/60 mmHg chez la femme) lors de consultations pour malaise est souvent considérée comme la cause du problème médical. Cette relation causale est, cependant, loin d’être toujours établie. Si une pathologie est identifiée créant une hypotension, les symptômes rapportés comme la perte d’énergie, la fatigue et/ou l’humeur dépressive peuvent, bien sûr, en être la conséquence. Cependant une hypotension chronique asymptomatique existe.
Numéros de page :
6 p. / p. 345-350

Article

Date parution pério
2021-04-01
La position debout, ou même assise, prolongée peut entraîner une baisse de la pression artérielle compte tenu d’une certaine séquestration du volume sanguin dans les membres inférieurs due à la gravité, ce qui peut provoquer un malaise lipothymique, voire une syncope. Nous présentons l’image d’un enregistrement continu, avec un Finometer®, de la pression artérielle systolique et de la fréquence cardiaque, démontrant que le simple fait de croiser les jambes en position assise permet de faire remonter, quasi instantanément, la pression artérielle.
Numéros de page :
3 p. / p. 221-223 : ill. en coul.

Article

Date parution pério
2023-04-01
La variabilité tensionnelle est habituellement un processus physiologique adaptatif permettant une perfusion optimale des organes internes en tout temps et en toute situation clinique. Cette variabilité peut néanmoins être excessive, ce qui est associé à un mauvais pronostic cardiovasculaire et rénal, mais aussi neurologique. Une variabilité tensionnelle excessive peut également être responsable d’une symptomatologie gênante chez certains patients.
Numéros de page :
9 p. / p. 204-212