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Produit intérieur brut -- France

Article

Auteurs
Bessone, Anne-Juliette Auteur du texte
Alors que la croissance économique a été positive en 2011, celle-ci a été nulle en 2012: en euros constants le produit intérieur brut (PIB) a en effet stagné. L'investissement des entreprises ainsi que leurs stocks ont diminué, de même que la consommation des ménages et cela pour la première fois depuis vingt ans. La demande intérieure étant atone, les importations ont décru tandis que les exportations ont continué de progresser. Le ralentissement des revenus d'activité et du patrimoine a provoqué un recul du pouvoir d'achat du revenu disponible brut des ménages.
Numéros de page :
6 p. / p. 17-22

Article

En 2012, avec une croissance nulle, le produit intérieur brut (PIB) a stagné. L'investissement des entreprises s'est inscrit à la baisse et la consommation des ménages a diminué pour la première fois en trente ans. La faiblesse de l'activité économique a entraîné une dégradation du marché du travail. La réduction du déficit manufacturier a permis de ramener le déficit commercial de la France à - 67,2 milliards d'euros en 2012 contre - 74 milliards en 2011. En dépit d'un effort considérable pour réduire le déficit public, celui-ci n'a baissé que de 0,5 point pour atteindre 4,8% du PIB.
Numéros de page :
44 p. / p. 5-48

Article

L'indicateur standard utilisé pour la mesure de l'évolution du bien-être a longtemps été le produit intérieur brut (PIB). Devant la montée des critiques contre la tentation de réduire à un simple indicateur économique les multiples dimensions que recouvre cette notion, la commission Stiglitz-Sen-Fitoussi a, en 2009, invité les chercheurs à renouveler leurs approches.
Numéros de page :
6 p. / p. 53-58

Article

Auteurs
Debauche, Etienne Auteur du texte
En 2014, la croissance de l'économie française est, comme l'année précédente, faible : le produit intérieur brut (PIB) en euros constants a progressé de + 0,2% (+ 0,7% en 2013). Le recul de l'investissement observé en 2013 s'accentue. La consommation des ménages accélère légèrement tandis que le pouvoir d'achat du revenu disponible des ménages croît faiblement, essentiellement en raison du dynamisme des prestations sociales en espèces et des revenus d'activité ainsi que du ralentissement des impôts.
Numéros de page :
7 p. / p. 15-21

Article

Auteurs
Jauneau, Yves Auteur du texte
Mesurer la part des activités culturelles dans l'économie implique de définir le périmètre de ces activités puis de restituer leur poids grâce à un indicateur macroéconomique unique. En France la culture représente 2,4% du PIB et une valeur ajoutée de 44 milliards d'euros. La place occupée par le non marchand y est supérieure à celle qu'il occupe en moyenne dans l'ensemble de l'économie. Entre les années 1960 et le début des années 2000 le poids de la culture dans le PIB a fortement augmenté, avant de diminuer puis de se stabiliser.
Numéros de page :
9 p. / p. 16-24

Article

Auteurs
Tonnelier, Audrey Auteur du texte
Au deuxième trimestre 2016, le PIB a stagné. Cette panne prend à revers les anticipations du gouvernement.
Numéros de page :
1 p. / p.6

Article

Auteurs
Tonnelier, Audrey Auteur du texte
les incertitudes mondiales et la mollesse de la reprise augurent une faible hausse du PIB tricolore en 2017
Numéros de page :
1 p. / p. 6

Article

Auteurs
Barthet, Élise Auteur du texte
La fronde des "gilets jaunes", couplée au ralentissement en Europe, conduit l'Insee à réviser ses prévisions
Numéros de page :
1 p. / p. 6

Article

Auteurs
Mathieu, Béatrice Auteur du texte
Date parution pério
2013-12-01
Légère hausse du PIB attendue en France en 2014, avec +0,8 %. Un chiffre qui ne devrait pas suffire à faire baisser le chômage et à faire repartir la consommation. Les investissements devraient également être limités dans un climat difficile. Seule l'accélération de l'Allemagne et la sortie de récession des pays d'Europe du Sud pourrait aider la France en augmentant les exportations.
Numéros de page :
1 p. / p. 74

Article

Date parution pério
2014-11-01
Généralement considérée comme la « somme des revenus générés par la production de biens et services dissimulés aux autorités gouvernementales », l'économie souterraine désigne des marchés dont les objets de l'échange sont illégaux. Mais la définition peut s'étendre à la fraude fiscale, une autre forme d'économie souterraine. Ces activités ont en commun de priver l'Etat de certaines ressources. Elles permettent, en revanche, la création de richesses dans des domaines où la réglementation ne le prévoit pas et favorisent la consommation légale.
Numéros de page :
4 p. / p. 48-51

Article

Date parution pério
2014-10-01
Le redressement des finances publiques s'est poursuivi en 2013, mais à un rythme plus lent que prévu. Le déficit public a ainsi baissé que de 0,6 point pour s'établir à 4,3% du produit intérieur brut (PIB). Cette faible amélioration s'explique surtout par l'atonie des recettes, hors mesures nouvelles, ainsi qu'à l'anémie de l'activité économique, plus faible qu'escomptée. La croissance des dépenses publiques en valeur a été moins forte - notamment en raison d'une inflation moins élevée qu'anticipée -, mais néanmoins insuffisamment pour compenser la faiblesse des recettes.
Numéros de page :
6 p. / p. 41-46