L'ex-président géorgien, qui se dit victime d'un empoisonnement, a transmis à "L'Express" un texte dans lequel il évoque sa détention à Tbilissi.

À cinq mois des législatives d’octobre 2024, ce site d’information polonais fait le bilan des longues années de pouvoir de Rêve géorgien. Engagé sur le chemin de l’adhésion à l’UE, ce parti tente de relativiser l’inflation galopante et ne s’intéresse guère à l’émigration, pourtant massive.

Face à la purge menée par l’actuel gouvernement pro-russe, les artistes et les responsables d’institutions culturelles se rebiffent. Ils dénoncent une mainmise du Kremlin sur le pays, qui a redoublé depuis le début de la guerre totale en Ukraine, et luttent contre le retour de l’influence russe.

Une journaliste polonaise s’est rendue dans la capitale géorgienne, refuge de nombreux Russes depuis la guerre en Ukraine. Elle dresse le portrait d’une communauté pratiquant l’entre-soi, qui inquiète les Géorgiens.

La Géorgie a réussi le tour de force d’obtenir, en décembre 2023, le statut de candidat à l’adhésion à l’Union européenne, tout en ayant refusé de rompre ses liens économiques avec Moscou, se félicite ce magazine russe.

Le conflit en Ukraine a ravivé les blessures de ce petit pays du Caucase, quatorze ans après son invasion par la Russie, en août 2008. Le pouvoir se rapproche du camp de Poutine, tandis que la population, majoritairement proeuropéenne, multiplie les manifestations. Récit d'une "guerre hybride''.

En mars 2023, des milliers de Géorgiens descendent dans les rues de Tbilissi contre un projet de loi liberticide. En creux de cette protestation inédite, l’intégration du pays à l’Union européenne.

Jeté en prison par le gouvernement prorusse et empoisonné aux métaux lourds, l'ancien président se bat. Jusqu'à quand ? Récit et interview.

Mariam, Salome, Dachi et Nano font partie de la « gen Z ». Celle qui a grandi avec le boom économique de l'ère Saakachvili, mais aussi avec les traumatismes de l'offensive russe de 2008. L'invasion de l'Ukraine a réveillé ses aspirations à en finir avec l'influence russe et aujourd'hui, elle regarde vers l'Europe. Sommaire. Ces jeunes Géorgiens qui, eux, rêvent d'Europe. Régis Genté, journaliste : "La pression s'accroît pour faire basculer la Géorgie dans le giron russe".

Lors du scrutin législatif du 26 octobre 2024, les Géorgiens devront choisir entre un rapprochement sans ambiguïté avec l’Occident et une inféodation à la Russie.

Vous pensiez avoir tout lu sur les oligarques postsoviétiques des années 1990 ? C'est que vous ne connaissez pas Bidzina Ivanichvili, l'homme d'affaires géorgien qui, après avoir feint de pousser son pays vers l'Europe, est en train de le jeter dans les bras de la Russie de Poutine à la suite d'élections à la légitimité contestée. Ou quand business et géopolitique font trop bon ménage.

L’annonce, fin novembre, de la suspension par le gouvernement du processus d’adhésion à l’Union européenne a fait descendre dans la rue des dizaines de milliers de Géorgiens, inquiets d’un possible rapprochement avec la Russie.