Réflexion, en septembre 2011, sur la surveillance des réseaux sociaux par les entreprises en France, afin de mieux réguler l'information diffusée et de maîtriser l'image de l'entreprise. Les entreprises apprennent à se prémunir contre les dérapages de leurs salariés, de la manière douce ou par sanction. Elles peuvent aussi créer leur propre réseau social, qui réduit le risque de divulgation d'informations confidentielles et de perte d'image.

Le point, en octobre 2011, sur le développement de l'usage des réseaux sociaux dans le secteur français de l'événementiel. Un outil employé tant pour des soirées de lancement de produits grand public que des réceptions ultrachics du fait de ses atouts : visibilité et interactivité accrues, élargissement des bases de données, etc. Bien que nécessaire, les réseaux sociaux ne sont cependant pas suffisants pour la communication. Autre point sensible dans le cas de leur usage : le message que l'entreprise souhaite véhiculer. Conseils aux entreprises avec précisions sur les écueils à éviter.

Lumière, début 2012, sur les freins au développement des réseaux sociaux d'entreprises (RSE), en France. Bien que ces outils aient des vertus en matière de partage des connaissances et de boosteur de créativité (via l'échange, la valorisation des compétences, etc.), ils pourraient également avoir un impact déstabilisant sur le mode d'organisation et de management de l'entreprise. Les dirigeants et managers craignent alors de perdre une part de leur pouvoir, tandis que les salariés redoutent une surcharge de travail et le regard de leurs pairs.

Acquisition, au printemps 2012, de l'éditeur français de logiciels de réseaux sociaux d'entreprise (RSE) BlueKiwi, par la SSII française Atos. Cette dernière va ainsi confirmer sa position de leader au sein du marché des RSE, encore faible en France mais aux perspectives d'évolution intéressantes. Le taux de croissance annuel moyen du marché des RSE devrait en effet être de 9,8 % d'ici à 2015, soit un taux 3,5 fois supérieur à celui du marché des logiciels et services IT ″classiques″. Le rachat va également permettre à Atos de développer de nouvelles solutions documentaires. Des détails.

Multiplication, en France, des sociétés de services en mesure d'épauler les organisations dans le déploiement d'un réseau social d'entreprise, ou d'une plateforme de travail collaboratif ou de knowledge management. Celles-ci se différencient par leurs compétences techniques, mais surtout par leurs aptitudes plus ou moins grandes à gérer des projets de transformation.

L'intelligence économique collaborative : quand la veille se nourrit de l'intelligence collective à travers le RSE.

Analyse comparative de deux concepts qui semblent être de plus en plus souvent confrontés l'un à l'autre dans les entreprises françaises : le digital workplace ou "place de travail digitale" et le réseau social d'entreprise (RSE). Une confusion alimentée par les discours marketing des éditeurs qui promettent des centaines de fonctionnalités de collaboration.

Comparatif, réalisé par trois éditeurs de réseaux sociaux d'entreprise (RSE), de l'utilisation de ces outils par les sociétés implantées dans différents pays du globe. Si s'équiper d'un réseau social pour faciliter la collaboration entre les personnels et la diffusion des connaissances est bien compris de tous, des différences de prise en main d'un RSE sont observées, fondées sur des caractéristiques culturelles. A commencer par l'appropriation de la mobilité, qui peut connaître des extrêmes d'un pays à l'autre.

Le flux d'information quotidien est appréhendé de manière différente par chacun d'entre nous. Pour le manager, c'est un challenge compliqué. Comment gérer ce flux pour son équipe, son département, soi-même ? On parle beaucoup de l'infobésité et de la surcharge d'information dont on est en permanence abreuvé... mais on parle peu de son pendant : la profusion d'outils et de méthodes qui en découlent.