Point, début 2013, sur l'intérêt d'user du canal Internet par les entreprises, dans le cadre de leur communication événementielle ou interne. Ces dernières organisent des événements dans lesquels elles placent beaucoup d'espoirs. Mais les absents doivent pouvoir accéder avec facilité au contenu de ce qu'ils ont manqué. Intranet, réseaux sociaux, webradios... Tels sont les outils qui permettent de mieux consigner ce qui fait date et de promouvoir dans la durée la mémoire de l'entreprise.

Bilan en 2016 de l'impact des RSE, les réseaux sociaux d'entreprise en France, présents dans 36% des entreprises tricolores et plus de 80% des sociétés du CAC 40. Il aura fallu à peine une décennie pour que le RSE supplante l'intranet mais il répond encore trop à un effet de mode. En interne, le réseau social ne constitue pas encore véritablement un outil de transformation des communications dans l'entreprise et des codes de management. Il fait un peu plus ses preuves à l'interface avec la clientèle. Quel qu'en soit l'usage, il faut s'en tenir à un déploiement mesuré, anticipé et accompagné.

Point, en 2011, sur les réseaux sociaux d'entreprises (RSE), qui permettent de décloisonner l'information dans les organisations, mais soulèvent une série de questions touchant à l'identité même de l'entreprise. La résistance au changement constitue le principal écueil à l'installation d'un RSE. Le RSE nécessite une remise à plat du système d'information et le développement de nouvelles pratiques documentaires.

Retour d'expérience, en septembre 2011, de l'équipementier en télécommunications français Alcatel-Lucent, qui a déployé le réseau social d'entreprise Engage. Une nouvelle plateforme qui côtoie Yammer, une solution précédemment utilisée, ainsi que d'autres briques du système d'information. Le côté informel d'Engage apporte un côté informel précieux pour la circulation de l'information. L'emploi d'un community manager un plein temps permet d'animer la plateforme et de libérer la parole des salarié

Réflexion, en mars 2012, sur le lien entre les RSE (réseaux sociaux d'entreprise) et la gestion de contenu (ou ECM pour entreprise content management), dans les entreprises françaises. Deux concept complémentaires dans le cadre de la gestion et de la circulation de l'information au sein des organisations. Des précisions sur leur rôle dans l'entreprise et sur le choix de l'intégration, ou non, du RSE dans le système ECM.

Retard de la France en termes d'adoption de réseaux sociaux d'entreprises (RSE) vis-à-vis des autres pays du monde. Paradoxalement, ce sont les réseaux sociaux grand public qui ont ralenti le déploiement des RSE dans les sociétés hexagonales, en donnant une vision parfois péjorative de leurs applications possibles. Les managers comme les salariés peinent à saisir les bénéfices que l'usage des RSE pourrait leur apporter dans le cadre de leur activité.

Bilan, 3 ans après sa mise en place, du programme "Well being at work", lancé en février 2011 par la SSII française Atos, afin de supprimer l'envoi de mails au sein de l'entreprise. Les courriels internes ont été remplacés par de nombreux outils, telle qu'une messagerie instantanée afin de planifier les réunions en ligne, le réseau social d'entreprise BlueKiwi, et un logiciel de partage des documents. Une conduite au changement a été mise en place afin d'accompagner les salariés. Les mails à destination de l'extérieur de la société sont quant à eux toujours en vigueur.

Analyse des atouts, mais également des limites, des réseaux sociaux d'entreprise (RSE) qui, selon une étude du GartnerGroup, n'afficheraient que 10% de taux de réussite dans les organisations françaises. Si certaines doutent encore de leur efficacité, pour nombre d'entreprises, ils sont facteurs de progrès en organisation et en performance. Pour séduire les plus réticents, les éditeurs défendent les bonnes approches pour mettre en oeuvre efficacement leurs solutions. Explications et détails au travers de retours d'expérience.

Retour, en novembre 2015, sur l'émergence et les usages des réseaux sociaux en entreprise (RSE) en France. Majoritairement plébiscité par le personnel, le RSE n'arrive pas encore à supplanter l'intranet. La mise en place d'un RSE s'insère dans une démarche plus globale de digitalisation de l'entreprise ou plus classiquement pour fédérer des équipes de travail dispersées. Un bémol : le faible taux d'appropriation du RSE par les salariés. Explications avec de nombreux retours d'expériences. Quelques données chiffrées sur l'implantation des RSE dans les entreprises françaises.

Conseils en mars 2016 à destination des sociétés françaises désireuses de déployer un réseau social d'entreprise (RSE). Outil tendance, le RSE reste néanmoins voué à l'échec dans 90% des déploiements. Pour éviter l'écueil, il ne faut surtout pas implémenter la plateforme sans repenser les processus à l'oeuvre dans l'entreprise. Il faut adapter la culture d'entreprise, engager toutes les parties impactées par le RSE, revoir les relations hiérarchiques. Explications à travers de nombreux retours d'expérience.