Depuis des mois, la Maison Blanche ne cesse d'appeler au départ du président Bachar al-Assad, mais le Kremlin paraît soutenir Damas contre vents et marées.

Beaucoup de pays occidentaux espèrent infléchir le soutien qu'apporte Moscou au régime syrien. Mais la Russie ne lâchera pas son dernier allié arabe.

En proposant de placer l'arsenal chimique de Damas sous contrôle international, Moscou profite habilement des hésitations américaines pour offrir une solution à bon compte au régime syrien.

Malgré les apparences et l'engagement de la Russie aux côtés de Bachar El-Assad, la marge de manoeuvre de Moscou semble assez limitée dans ce conflit.

L'offensive de Vladimir Poutine pour sauver le dictateur syrien secoue le camp occidental et semble sur le point d'aboutir. Face au lot de réfugiés, l'Europe risque de céder à la pression russe. Sommaire. Moscou ne lâchera pas le leader syrien. Les limites du pouvoir russe. Obama prêt à céder devant Poutine.

La dernière région de Syrie aux mains des factions rebelles s'apprête pour ce qui pourrait être la dernière bataille de cette guerre. Une bataille qui aurait également des conséquences sur les rapports de la Syrie avec la Turquie et la Russie.