Aller au contenu principal

Si Beale Street pouvait parler

Article

Auteurs
Franck Garbarz livre une critique de "Si Beale Street pouvait parler" où l'on suit le combat de Tish pour faire libérer Fonny, unis par un lien d'amour mis à mal.
Numéros de page :
pp.32-33

Article

Auteurs
Bulletin : Première 492
Deux ans après son Oscar du meilleur film, Barry Jenkins a choisi d'adapter "Si Beale Street pouvait parler" de James Baldwin. L'histoire d'un jeune couple brisé par une fausse accusation de viol. Un film ambitieux qu'il décrypte pour "Première".
Numéros de page :
pp.66-69

Article

Auteurs
Date parution pério
2019-01-01
Ne comptez pas sur Barry Jenkins pour marcher dans les pas de Spike Lee et dénoncer de manière fracassante la condition réservée au peuple noir, en ambitionnant d'en devenir le porte-parole médiatique. Là où son tapageur aîné pratique volontiers l'escalade dans le bruit et la fureur, parfois avec succès, comme dans le récent "BlackKklansman", le réalisateur oscarisé de "Moonlight" préfère se mettre à hauteur de ses personnages pour les regarder les yeux dans les yeux. L'humanité de son cinéma passe avant tout par celle dont sont empreints ses protagonistes.
Numéros de page :
pp.142-145