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Supiot, Alain (19..-....) -- Entretiens

Article

Auteurs
Marongiu, Jean-Baptiste Auteur du texte
L'ultralibéralisme a cassé le droit social de l'après-Seconde Guerre mondiale. Professeur de droit, Alain Supiot invite à revenir aux principes de départ.
Numéros de page :
/ p. 24

Article

Auteurs
Kesteman, Nadia Auteur du texte
Alain Supiot, spécialiste de droit social, professeur au Collège de France, a dirigé "La Solidarité". Enquête sur un principe juridique, un ouvrage collectif paru en 2015. A l'occasion du 70e anniversaire de la création de la sécurité sociale française, il revient, dans cet entretien, sur les principes de solidarité fondateurs du système de protection sociale et sur la façon dont ils ont évolué au fil des décennies.
Numéros de page :
7 p. / p. 51-57

Article

Auteurs
Frieyro, Martin Auteur du texte
Le droit, longtemps lié à la souveraineté nationale, n'est plus enclos au sein des Etats-nations. Car le champ d'application des lois déborde désormais les frontières nationales. Mais que signifie cette évolution ? Assiste-t-on à un affaiblissement de l'idée même de droit ? Ou l'interdépendance croissante entre les systèmes de droit préfigure-t-elle un nouvel ordre juridique dessinant un nouvel universalisme ?
Numéros de page :
17 p. / p. 35-51

Article

Auteurs
Le juriste Alain Supiot réaffirme les principes au coeur de la démocratie sociale, en particulier la dignité humaine et la solidarité, mis à mal par les excès du libéralisme contemporain. En ces temps de crise, c'est eux qu'il faut repenser, sans nostalgie ni pessimisme...
Numéros de page :
4 p. / p. 28-31

Article

Auteurs
Anquetil, Gilles Auteur du texte
Date parution pério
2010-01-28
Face à la mondialisation, pourquoi faut-il s'inspirer de la Déclaration internationale des droits à vocation universelle de 1944 pour bâtir la justice sociale ?
Numéros de page :
/ p. 80

Article

Auteurs
Dedieu, Franck Auteur du texte
Date parution pério
2015-05-01
Pour ce spécialiste du droit, professeur au Collège de France, la gouvernance par les nombres, qui impose sa logique comptable dans les entreprises comme à la tête des Etats, constitue à terme un renoncement à l'exercice démocratique.
Numéros de page :
4 p. / p. 16-19