L'achat de Jaguar et Land Rover par le groupe indien est un vrai succès.

Le développement industriel ou la nature, il faut choisir. Les multinationales ou les simples citoyens n'ont pas la même réponse. Un exemple typique : le projet industriel de la multinationale Tata sur la côte Est de l'Inde

A 78 ans, le patriarche du conglomérat indien Tata revient aux affaires après avoir débarqué l'ex-patron. Récit.

Cyrus Mistry, le PDG du conglomérat indien, a été viré du jour au lendemain. Cette affaire stupéfiante illustre les problèmes de succession au sein des empires familiaux, estime le directeur de la rédaction d'"India Today".

Cet empire dont l'histoire industrielle se confond avec celle de l'Inde est détenu aux deux tiers par des institutions caritatives familiales, qui cultivent rentabilité et oeuvres sociales.

L'austère patron de Tata Group entend contester la suprématie du flamboyant PDG de Mittal-Arcelor dans le secteur de l'acier.

Présentation, histoire et stratégie de la multinationale industrielle indienne Tata active dans plusieurs secteurs d'activités, dont l'acier, les SSII (services et conseils en informatique) ou encore la construction automobile. Un ensemble d'entreprises né sous les autorités coloniales britanniques en 1868, qui a réussi à se développer en combinant, paternalisme, nationalisme et capitalisme.

Tata, qui domine le marché indien depuis un siècle, lance la voiture la moins chère du monde. Un pari risqué.