Standing. Si la classe éco est aspirée vers le bas, la classe affaires atteint des sommets dans le confort.

Grâce au réseau et à la présence au sud du Sahara de la compagnie belge, qu'il a absorbée, le groupe allemand a doublé ses destinations sur le continent. Mais il reste derrière Air France-KLM.

Face au développement spectaculaire du trafic aérien, les États doivent revoir leur stratégie. Une minorité a fait le choix de confier la gestion de ses infrastructures à des privés.

De l'attente d'embarquement à l'arrivée à destination, les compagnies aériennes misent sur un service toujours plus important à l'intention de leur classe affaire. Le maître mot est désormais "l'expérience". Une stratégie qui s'illustre par des salons d'attente au design soigné et proposant toujours plus de services liés au plaisir (comme la gastronomie), au relationnel ou encore au travail. En vol, le confort est toujours plus poussé. Enfin, à l'arrivée aussi les compagnies accompagnent leurs voyageurs d'affaires. Des exemples. Peu de chiffres.

Les partenariats stratégiques se multiplient entre les acteurs du transport aérien, de l'hôtellerie ou encore d'autres services liés aux loisirs et à la mobilité, tout particulièrement sur le segment du tourisme d'affaires en France. Cette pratique n'est pas nouvelle. Elle était bien développée dans les années 1990 entre les groupes hôteliers et compagnies aériennes, avant de connaître un ralentissement par la suite. En actionnant à nouveau ce levier, l'objectif des entreprises est d'acquérir de nouveaux clients mais aussi de les fidéliser.

L'explosion du trafic impose aux compagnies et aux aéroports africains de se mobiliser pour recruter, former et fidéliser leur personnel. Faute de quoi leur essor sera entravé.

Un temps effacée par la montée en gamme de la classe affaires, la première classe perdure dans le secteur mondial du transport aérien. Luxe, services, espace, technologie et ultra-personnalisation permettent à cette offre de continuer à se surpasser pour satisfaire une clientèle toujours plus exigeante. La négociation des contrats par les entreprises ou encore la récompense de la fidélisation des clients permettent cependant de faire baisser les prix. Des précisions à travers des exemples. Quelques données chiffrées donnant des exemples de prix des billets de première classe.

A l'heure du coronavirus, les terminaux et les compagnies aériennes réinventent leurs procédures pour assurer une sécurité maximale au passager.

Futur aéroport d'Addis Abeba, extension de la flotte et du réseau, diversification... Malgré la crise, le patron de la première compagnie du continent maintient le cap sur ses objectifs et, fort de liens toujours plus privilégiés avec la Chine, affiche de grandes ambitions.

Sites touristiques déserts, aéroports vides, fréquentation en chute libre de plus de 80 % : la pandémie de Covid-19 et le confinement quasi-mondial ont lourdement impacté le secteur du tourisme en 2020. Selon l'Organisation mondiale du tourisme de l'ONU, les dépenses liées aux voyages internationaux pourraient reculer de plus de 1000 milliards de dollars par rapport aux années précédentes. Dans une grande majorité des pays, les clients nationaux ne suffiront pas à compenser le manque créé par l'absence des touristes étrangers.

Au pied des Pyrénées, des dizaines d'appareils stationnent en attendant de connaître leur prochaine destination : les airs ou la casse.

Le transport aérien pourrait-il décliner pour cause de pollution ? Les chiffres du trafic mondial disent plutôt le contraire. Mais une prise de conscience est en train de naître dans certains pays où une alternative crédible à l'avion existe. Car le constat sur les émissions de CO2 est là...