Pour l'aviation aussi, le soleil se lève à l'est. Les liaisons entre Amérique latine et Moyen-Orient mais aussi entre Afrique et Asie, devraient quintupler dans les vingt prochaines années.

En plein boom, le transport aérien devient dévastateur pour l'environnement. En 2017, la barre des 4 milliards de passagers a été franchie, selon l'Organisation de l'aviation civile internationale. Ce chiffre pourrait atteindre les 8 milliards à horizon 2037. La croissance du secteur a été tirée par les pays riches. Les tarifs sont toujours plus tirés vers le bas grâce à une fiscalité avantageuse dont profite les acteurs du marché. En parallèle, les émissions de CO2 liées à l'avion ont progressé de 57% entre 2000 et 2016.

Dès 2018, le City Airbus à décollage vertical volera à 120 km/h.

Pourra-t-on encore voler en 2050 ? Pour répondre au défi du réchauffement climatique, l'industrie aéronautique fait le pari que oui, au prix d'immenses mutations technologiques.

Après la crise de l'euro, les pays du sud de l'Europe redoutent un effondrement du secteur du tourisme en raison de l'épidémie de Covid-19, en 2020. La paralysie de la circulation mondiale révèle la vulnérabilité de cette activité et oblige à repenser son développement, fondé sur un échange marchand inégal. Explications et détails, sous la forme d'un dossier. Sommaire. Des loisirs à la chaîne. A la recherche du voyage "écoresponsable". La Compagnie des Alpes ou l'Etat stratège en perdition. Le bout du monde en bas de chez soi. Repartir mais pas comme avant...

Techniquement le taxi volant est au point. Airbus développe trois modèles. D'autres géants de l'aviation et des start-up sy mettent aussi. Reste un os : la sécurité.

En quittant précipitamment Bamako, la compagnie française s'est attiré les foudres des autorités locales. Alors que les dessertes de plusieurs destinations africaines sont suspendues, les concurrents sont déjà en embuscade.

Parfois assimilées l'une à l'autre du fait de la proximité géographique de leurs hubs respectifs, les deux compagnies affichent pourtant de profondes différences. Analyse comparée.

À Lille, Nice ou Marseille, des projets d’extension sont en cours. Tous contribuent à accroître le trafic aérien, en dépit des engagements climatiques du gouvernement et des entreprises.

Les transports sont aujourd’hui le premier secteur émetteur de gaz à effet de serre en France (30 % des émissions) ; ils constituent donc une étape essentielle de la transition écologique. Les auteurs présentent ici les options technologiques ouvertes pour les décarboner, en commençant par la motorisation (électrique, hybride, hydrogène, biocarburants…) des véhicules utilisés en transport routier. C’est selon eux un angle incontournable dans une stratégie visant à atteindre la neutralité carbone.

Le 9 juillet 2019, le gouvernement français a annoncé la mise en place d'une écotaxe de 1,50 à 18 euros sur les billets d'avion à partir de 2020 pour tous les vols au départ d'aéroports français. Les fonds collectés permettront de financer "des infrastructures de transport plus écologiques". Cette décision - avant tout symbolique - fait suite à plusieurs mois de débats sur l'impact écologique de ce mode de transport. Détails. Quelques données chiffrées.