Pour sa septième édition, Dream City a animé, au début d'octobre 2019, la médina de Tunis. Tremplin pour de jeunes artistes, ce festival propose aussi des spectacles accessibles à tous les publics.

Interférences politiques, infrastructures vieillissantes, effectifs insuffisants, réformes gelées... Le malaise grandissant au sein de l'appareil judiciaire menace de paralysie l'institution tout entière.

Asile des opposants au temps de la dictature, l'ex-puissance coloniale reste un partenaire stratégique mais a cessé de faire rêver. Pour des raisons pas toujours très rationnelles.

Participer au pouvoir ou incarner l'opposition aux islamistes ? Tel est le dilemme auquel est confronté le parti de Nabil Karoui, qui peine encore à définir sa ligne politique.

Des architectes, urbanistes et artistes s'emparent de la rue au moyen de constructions éphémères, pour questionner la participation citoyenne dans les enjeux urbains.

La composition du nouveau gouvernement a fait l'objet d'âpres négociations. Mais son chef s'est attiré les foudres des modernistes, qui l'accusent d'être l'homme de paille d'Ennahdha.

Avec "Sortilège", le réalisateur tunisien Ala Eddine Slim nous invite à un voyage poétique vers un ailleurs mystérieux. Rencontre avec un cinéaste qui aime croire qu'il peut exister d'autres mondes que le nôtre.

Stratégie peu lisible, communication opaque, caractère indépendant... Cent jours après son investiture, le président Saïed n’est parvenu ni à clarifier sa feuille de route, ni à rompre son isolement politique.

Comme dans de nombreux pays à travers le monde, les démagogues antisystème ont fait irruption sur le devant de la scène, ne reculant devant aucune outrance pour servir leurs desseins. Jusqu’où peuvent-ils aller ? L'article se conclue par la tribune d'Amine Snoussi, essayiste et militant pour la justice sociale et écologique, tribune intitulée "Déni de démocratie".

Après une période de tensions avec le président Kaïs Saïed, le patron d'Ennahdha et titulaire du perchoir veut calmer le jeu, tout en rappelant que son parti demeure une force politique incontournable. Et un partenaire obligé.

Covid-19, conflit libyen, crise sociale, frilosité des investisseurs... Les dossiers chauds s'empilent sur le bureau du nouveau locataire de la Kasbah. Qui se veut optimiste.

A une forte majorité, les élections présidentielles tunisiennes ont porté au pouvoir Kaïs Saïed, un conservateur se présentant comme « antisystème ». Mais le pays est plus divisé qu’il n’y paraît. La campagne a fait émerger des thèmes nouveaux. L’échec de la validation du nouveau cabinet ministériel montre que les islamo-conservateurs n’ont plus la domination absolue.